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Biodiversité positive

 

Inspirée de la bien connue « énergie positive », l’expression « biodiversité positive » est née pour désigner les constructions intégrant la biodiversité. Elle définit un espace bâti dont la conception, la mise en œuvre et la gestion permettent le maintien ou le développement d’une biodiversité, d’une biomasse ou d’une nécromasse. Il en est de même de sa possibilité de recréer des fonctions éco-systémiques équivalentes à celles que l’on trouverait sur une surface sauvage de mêmes caractéristiques, au même endroit.

Espaces naturels n°43 - juillet 2013

Des mots pour le dire

Enjeux globaux, actions locales. Contradictions...

 

Un adage répandu dans le monde de l’environnement, « penser globalement, agir localement », donne à penser qu’il existerait une sorte de continuité naturelle entre le global et le local. Le développement des politiques énergétiques depuis l’émergence de la question climatique montre qu’il n’en est rien. La priorité donnée à l’essor des énergies renouvelables non émettrices de GES (en particulier l’éolien terrestre et offshore) est un acquis du Grenelle. Comme l’hydro-électrique, le développement éolien caractérise bien l’opposition global/local.

Espaces naturels n°43 - juillet 2013

L'entretien

Solidarité écologique

 

Le concept de solidarité écologique apparaît avec la loi du 14 avril 2006 réformant les parcs nationaux. Il est utilisé pour fonder l’aire optimale d’adhésion des parcs. L’objectif est de sortir de la vision de l’aire protégée où coexistent deux zones (zone centrale protégée et zone tampon périphérique), pour entrer dans une vision solidaire de l’espace à même d’assurer une meilleure cohérence territoriale.
La solidarité écologique repose sur l’étroite dépendance réciproque entre deux espaces géographiques contigus ou non. Elle intègre deux notions :

Des mots pour le dire

« Pour conduire un projet de paysage, il y a plusieurs chefs d’orchestre possibles »

 

La notion de paysage n’est simple qu’en apparence !
Effectivement… Non seulement elle désigne ce qui est visible, à savoir les réalités matérielles ou les images de ces réalités, mais elle traduit également, et plus largement, les inépuisables significations que les humains attribuent à leur environnement. C’est pourquoi aucune discipline ne peut prétendre, seule, en maîtriser l’interprétation.

L'entretien

« L’environnement, c’est une façon d’appréhender l’avenir »

 

L’IFORE est en activité depuis janvier 2002. 118 stages ont été organisés, 1200 stagiaires ont été accueillis en formation continue, qu’est-ce que cela vous inspire ?
Je dirais que L’IFORE répond à un besoin.

Espaces naturels n°1 - janvier 2003

L'entretien