Deux réserves de biosphère coopèrent
D’un bout du monde à l’autre, les problématiques sont parfois similaires. Au Chili et en France, deux territoires, tous deux réserves de biosphère, se posent des questions qui prennent leur source dans un terreau partagé. La Réserve de biosphère de La Campana-Péñuelas est contiguë aux grosses agglomérations que sont Santiago et Valparaiso. En Île de France, la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais est, elle, située à soixante kilomètres de Paris. Au Chili comme à Paris, ces deux espaces constituent un poumon vert emblématique de leur macrorégion.
Espaces naturels n°44 - octobre 2013
Une mare plutôt qu’une citerne incendie
La loi impose aux communes de prévoir des réserves d’eau dans lesquelles il est possible de puiser en cas d’incendie. La création de mares peut être une alternative aux citernes.
Le Parc naturel régional des Caps et marais d’Opale a cependant étudié les conditions de leur mise en œuvre.
Espaces naturels n°44 - octobre 2013
Limiter les effets toxiques des traitements antiparasitaires
Des mesures appropriées permettent de réduire l’impact toxique des traitements antiparasitaires.
Espaces naturels n°17 - janvier 2007
Trois ans pour réduire les invasions végétales
Le Parc national des oiseaux du Djoudj a été créé en 1971. Ces trente-cinq années d’existence se décomposent en deux grandes périodes : avant et après la mise en service du barrage de Diama (début des années 1990). Son but est d’empêcher la remontée de la langue salée venant de la mer, de constituer une réserve d’eau douce et de permettre, notamment, la culture de riz de contre-saison. Mais le barrage de Diama a considérablement modifié les écosystèmes du delta.
Le barrage, source première de tous les maux
Espaces naturels n°17 - janvier 2007
Voici pourquoi vous allez compter les papillons
Avez-vous déjà compté les papillons ? Avec une bonne méthode, il est possible d’appréhender l’état d’un milieu ouvert (attention, seulement ouvert). Qui l’eut cru ? Les papillons sont un excellent indicateur de son ouverture et de sa conservation. Les Anglais ont d’ailleurs été les premiers à mettre en place un suivi à long terme des papillons de jour. Dès 1976, dans une procédure appelée « Butterfly Monitoring Scheme », les Britanniques se sont mis à dénombrer avec une méthodologie bien précise les rhopalocères.
Espaces naturels n°1 - janvier 2003
Jumelages gagnants à nos frontières
Ballons des Vosges et Forêt noire
Dérangé dans les Vosges, le Grand tétras s’épanouit en Forêt noire
Espaces naturels n°1 - janvier 2003