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Notre rapport au sauvage : passionnément ou pas du tout ?

 

Les citoyens, comme les pouvoirs publics, portent un regard ambivalent sur le sauvage. Même si certaines études montrent une incontestable demande pour du « sauvage », il serait illusoire de considérer l’opinion publique comme un tout, identique en tous points du territoire national, et plus encore de ne pas prendre en considération qu’elle peut s’exprimer différemment selon le degré de proximité et surtout de fréquentation de l’espace en discussion sur son avenir. 

Espaces naturels n°55 - juillet 2016

Le Dossier

L'Anthropocène est-il contre-nature ?

 

Deux lectures de l'Anthropocène1 ont tendance à converger : une lecture postmoderne, plutôt portée par les sciences humaines et sociales, qui affirme la fin de la nature au profit d'une multitude d'hybrides entre nature et artifice, et une lecture prométhéenne qui affirme que l'Homme doit désormais prendre le contrôle du système Terre, en pilotant les écosystèmes grâce à l’ingénierie écologique et le climat grâce à la géo-ingénierie.

Espaces naturels n°55 - juillet 2016

Le Dossier

Quelle place pour la nature sauvage dans un parc habité ?

 

Les espaces de nature sauvage (arrière-plan) sont mêlés aux espaces habités (hameau de la Jonte).</body></html>

Espaces naturels n°55 - juillet 2016

Le Dossier

Natures sauvages

 

Concernant l'appréhension du sauvage chez les différents peuples sur lesquels vous avez travaillé, qu'est-ce qui vous a le plus marquée ?

Espaces naturels n°55 - juillet 2016

Le Dossier
inukshut

Il n'y a pas de nature sauvage pour les Inuit. Leur vision animiste prête une âme aux différentes entités, et il en découle un certain anthropomorphisme. L'inukshut est un cairn habité par une âme et, en langue inuktitut, certains termes sont communs au corps et aux formes de la nature. © Fabienne Joliet

Délaisser la wilderness ?

 

Faut-il abandonner l'idée américaine de wilderness (cf.définition p. 29) pour continuer à penser le sauvage ? Cette question est au cœur d'un débat qui voit s’affronter des environnementalistes depuis les années 1990 et qui est repris dans les pages de deux volumineux ouvrages parus à dix années d'intervalle (cf. En savoir plus). Produit d'une conversion du regard sur la nature sauvage qui s'opère au XIX e siècle, le mythe heureux de la wilderness occupe une place centrale dans l'histoire du préservationnisme américain.

Espaces naturels n°55 - juillet 2016

Le Dossier
On reconnaît un espace féral à l'autonomie retrouvée des processus qui s'y déroulent.

On reconnaît un espace féral à l'autonomie retrouvée des processus qui s'y déroulent. ©Billy Fernandez