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Questions à Diana Hounslow

 

Le nombre de greeters ne fait que croître dans le Pas-de-Calais, comment animez-vous ce réseau ?

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Accueil - Fréquentation

Pour des indicateurs vraiment opérationnels, collaborez

 

Pampa1 est un programme d’action pour mettre en œuvre des indicateurs pour les aires marines protégées (AMP). Quelle est la spécificité de ce programme ?
Pampa rassemble des scientifiques et des gestionnaires d’aires marines protégées. Ensemble, ils cherchent à construire des indicateurs fiables et opérationnels. Les scientifiques relèvent de disciplines aussi diverses que le droit, la géographie, l’écologie, l’économie et les statistiques.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Le Dossier

Où s'approvisionner ?

 

La question de l’approvisionnement en indicateurs n’a pas de réponse toute faite. Il s’agit surtout de s’interroger sur les bonnes approches pour mener à bien sa quête d’information.
En premier lieu, définir ce que l’on cherche : s’agit-il de trouver des données, assorties d’une méthode pour calculer soi-même un indicateur, ou d’utiliser des indicateurs déjà calculés ? La réponse dépend de l’objectif et des moyens dont on dispose.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Le Dossier

Bonne note pour la forêt

 

Simple, rapide, pragmatique, ainsi peut-on qualifier la méthode récemment développée1 pour évaluer l’état de conservation des habitats forestiers. Elle analyse, d’une part, l’état de leurs structures et de leurs fonctionnalités et, d’autre part, les atteintes pouvant avoir un impact important.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Le Dossier

Les Lozériens inventent leur méthode pour suivre l’état de conservation de la végétation

 

La directive Habitats-Faune-Flore introduit une notion nouvelle en écologie de la végétation : l’état de conservation des habitats naturels dont elle impose l’évaluation. Elle en précise la méthode à l’échelle biogéographique mais pas à l’échelle locale. Afin de développer un tel outil, la direction départementale des territoires de la Lozère, appuyée par les partenaires locaux, se lance dans une démarche concertée.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Le Dossier

Limiter le nombre d’indicateurs. Comment je m’y prends ?

 

Huit espèces de poissons et des dizaines d’invertébrés endémiques, la plus grande colonie au monde de pélicans frisés… les grands lacs de Prespa entre Grèce, Albanie et Macédoine, sont un haut lieu de biodiversité.
Comment élaborer le jeu minimal d’indicateurs qui permettra un suivi régulier de ces lacs et leur bassin versant ? Le caractère transnational du site rend la question d’autant plus complexe.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Le Dossier

12 indicateurs pour les milieux alluviaux

 

Les milieux alluviaux sont caractérisés par des flux importants d’eau, d’alluvions, de sels minéraux et de matière organique. Leurs variations incessantes induisent un perpétuel ajustement du système. Aussi, les systèmes alluviaux échappent-ils à une évaluation fondée sur un système de référence. Leur clé de voûte apparaît être la capacité d’expression des processus fonctionnels.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Le Dossier

© Bernard Pont

Fourre-tout ou panacée ?

 

Réduire le rythme de perte de diversité biologique. Cet objectif promu en 2002 en déclinaison de la Convention sur la diversité biologique est louable, il demande néanmoins de pouvoir évaluer si les efforts consentis portent leurs fruits. Comment faire autrement qu’en développant des indicateurs ?

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Le Dossier

Question à Bernard Pont

 

Bernard Pont,pourquoi les systèmes alluviaux échappent-ils à une évaluation fondée sur un système de référence ?

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Le Dossier

Les indicateurs, entre science et politique

 

D’un côté, la réalité biologique : multifactorielle et complexe ; de l’autre, les politiques de gestion qui nécessitent d’exposer les faits de manière intelligible, afin de pouvoir prendre des décisions sur des bases suffisamment solides. À chacune de ces réalités correspondent des compétences associées : les personnes légitimes pour juger de la rigueur ou de l’aspect opérationnel d’un indicateur sont rarement les mêmes.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Le Dossier

Suivez la méthode

 

La méthode Co-Obs a été développée à l’issue de plusieurs expériences dans le domaine de l’agriculture. Elle a pour caractéristique d’amener les partenaires d’un projet d’observatoire à confronter leurs perceptions du territoire, à exprimer et à hiérarchiser leurs besoins en information. Elle recherche par ailleurs la concrétisation dudit projet en un minimum de temps.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Le Dossier

L’abondance peut nuire

 

Quatre-vingt-deux indicateurs de biodiversité rien que pour les écosystèmes marins et côtiers ! Ce chiffre, issu d’un travail conduit en 2010 par lfremer, laisse songeur. Il résulte d’une étude des textes officiels tels la Convention sur la diversité biologique, la directive-cadre sur l’eau ou Natura 2000.
Quel que soit le domaine, la quantité d’indicateurs croît. La rationalisation de la gestion et le souhait de contrôler son efficacité expliquent leur inscription dans les textes réglementaires.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Le Dossier

Sylvain Dubreux : « Mes élèves ? De futurs chefs d’équipe »

 

Il y a des profs qui marquent. Sylvain Dubreux est de ceux-là. Enseignant au lycée agricole de Tilloy-les-Mofflaines, il forme ses élèves au brevet de technicien supérieur Gestion et protection de la nature (GPN). Son approche du cursus scolaire repose sur un constat : pas assez de pratique ! « Au lycée, on n’est pas suffisamment équipé pour approfondir les gestes techniques. On se concentre sur la théorie sans réellement toucher au terrain.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Pédagogie - Animation

Mais combien ça coûte ?

 

Faut-il disposer de financements importants pour mettre en œuvre des indicateurs ?
Le coût varie en fonction du type d’indicateur mais également des différentes phases de sa mise en œuvre.
La construction de l’indicateur, tout d’abord. Elle nécessite réunions, déplacements d’experts, recherches bibliographiques… C’est en s’inspirant de méthodologies existantes qu’il sera possible de réduire ses coûts.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Le Dossier

Les greeters vous livrent l’âme du pays

 

Il ne s’agit pas de visites guidées mais de vraies rencontres. Dans le Pas-de-Calais, il est possible d’être accueilli par un habitant qui, comme on discute avec un ami, vous guide pour vous faire découvrir son coin, sa région, dont il est (n’en doutez pas) amoureux.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Accueil - Fréquentation

L’accès du public aux milieux humides : une condition de leur conservation

 

La fréquentation des espaces palustres permet-elle ou non de faciliter l’adhésion sociale aux politiques de conservation ? L’étude des rapports sociaux, qui porte sur six marais dont trois urbains et trois ruraux, catégorise les milieux et retient la construction de trois types possibles d’espaces palustres : des marais visités, des marais habités et visités ; des marais habités. Dans chacun d’entre eux, la relation à l’espace s’exprime différemment.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Le Dossier

Les agriculteurs face aux contradictions des politiques publiques

 

De nombreuses terres, en zones humides, sont exploitées par des agriculteurs : cette catégorie professionnelle est donc placée au cœur des enjeux de conservation. Or, durant les quarante dernières années, l’évolution de ces exploitations est marquée par des stratégies d’intensification et d’agrandissement. Cela se traduit par l’assèchement de ces milieux pour y implanter des cultures de vente et des cultures fourragères, plus productives que les prairies naturelles.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Le Dossier

Un héron et un caïman qu’on n’attendait pas

 

Ceinturé par des falaises très abruptes, par des forêts marécageuses et impénétrables, par des vasières très instables, le cœur du marais est inaccessible par la mer et par voie fluviale et terrestre. Ainsi, l’essentiel de la zone humide de Kaw-Roura est resté quasiment vierge de toutes connaissances scientifiques jusqu'à une période très récente. Or, dans la continuité des opérations de recherche du PNRZH, une plate-forme flottante a été héliportée le 4 décembre 2001. Elle a ainsi été déposée dans une mare isolée et permanente du marais.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Le Dossier

Les mares prairiales en toute urgence

 

Le principal enjeu de protection porte incontestablement sur les mares prairiales qui renferment l’essentiel de la biodiversité de l’espace rural. Face à l’intensification de la filière élevage et à la transformation des pratiques agricoles, la rapide disparition des mares d’abreuvement se poursuit, voire s’accélère, au gré des modifications de la PAC. À l’inverse, les mares routières et autoroutières sont les championnes de la biodiversité floristique : près de la moitié des espèces patrimoniales y trouvent refuge.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Le Dossier

Pratiques agricoles : gérer pour la biodiversité

 

Le fauchage ou le pâturage ont-ils le même impact sur la biodiversité ?
Ces deux modes de gestion déterminent des cortèges floristiques sensiblement différents. Une étude comparative à niveaux hydriques équivalents a été menée entre des prairies fauchées et des prairies pâturées. Les résultats montrent que la richesse et la diversité des communautés végétales diminuent avec le pâturage. L’appauvrissement observé est d’autant plus marqué que le pâturage a lieu tôt au printemps, que le chargement animal est important et que les apports d’engrais sous forme minérale sont élevés.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Le Dossier

La nature va y trouver son compte

 

Que les sportifs participent à entretenir les espaces qu’ils fréquentent et la nature elle-même peut y trouver son compte. Les exemples de bonne entente entre gestionnaires et sportifs sont assez nombreux : en Meuse, des chantiers d’entretien furent organisés par les parapentistes et le Conservatoire des sites lorrains ; dans la Réserve naturelle des Gorges de l’Ardèche, les spéléologues œuvrent au recensement de la faune des grottes et à la compréhension des phénomènes géologiques.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Accueil - Fréquentation

Principes à appliquer pour le suivi d’une tourbière

 

Faire le diagnostic d’une tourbière, c’est, en tout premier lieu, analyser les cartes géologiques afin d’appréhender son bassin versant. Car le fonctionnement d’une tourbière dépend d’abord de son environnement géologique et géographique.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Le Dossier

Monde sous-marin, la palme du respect

 

Avec près de 20 000 plongées recensées chaque année dans ses eaux, le Parc national de Port-Cros souhaitait promouvoir une pratique à la fois respectueuse de l’environnement et riche de qualité pour les usagers. Les équipes du parc, elles-mêmes pratiquantes, considéraient que les exigences propres à la plongée étaient largement compatibles avec les prescriptions de fréquentation d’un espace protégé.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Accueil - Fréquentation

Gypaète barbu

 

Qu’il faille former les personnels, tout le monde s’en accorde. Mais une fois cette évidence établie, tout reste à définir : quel contenu met-on à la formation et qui forme-t-on ? Les cadres ou les agents de terrain ? Pour qu’ils acquièrent un certain niveau de connaissances techniques ou pour qu’ils sachent sensibiliser le public ?
Savoir qui former
et pourquoi

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Pédagogie - Animation

« La diplomatie des petits pas »

 

Tout d’abord, le recensement des sites ! Dès cette première étape, le GIP des Calanques s’est trouvé confronté au tangible : comment inventorier les sites cachés ou officieux ouverts notamment par les professionnels pour un usage privé… ou, plus simplement, comment réaliser le listing des voies non répertoriées dans le topo-guide ? Une seule solution : le relationnel. La confiance avec les usagers, et notamment les sportifs de la fédération, ayant été instaurée, l’étude de terrain et les échanges ont permis de découvrir les voies « cachées ».

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Accueil - Fréquentation