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L'agence est lancée

 

Ségolène Royal a lancé le chantier de préfiguration de l’Agence française pour la biodiversité le 29 octobre dernier à l’occasion d’une réunion du comité de suivi de la stratégie nationale pour la biodiversité. Elle a désigné trois préfigurateurs : Gilles Boeuf pour le conseil scientifique, Annabelle Jaeger pour le lien avec les collectivités territoriales, et moi-même pour la direction. Elle souhaite voir associer Emmanuel Delannoy et l’Institut Inspire pour les relations entre entreprises et biodiversité.

Espaces naturels n°49 - janvier 2015

Édito

S’entraider par-delà l’Atlantique

 

L’idée d’un jumelage entre sites naturels du Conservatoire du littoral situés de part et d’autre de l’Atlantique est venue en réponse à l’isolement géographique de l’archipel de Saint-Pierre et Miquelon par rapport au réseau de sites du Conservatoire du littoral, et pour appuyer la mise en place d’une gestion de site naturel qui n’existait pas avant l’intervention du Conservatoire du littoral. À ce moment-là, en 2005, le SyMEL (Syndicat Mixte des Espaces Littoraux de la Manche) bénéficiait par contre déjà d’une expérience de gestion de sites de près de 20 ans.

Espaces naturels n°49 - janvier 2015

Aménagement - Gouvernance

Premiers échanges en août 2008 dans la Manche © Conservatoire du littoral - A. Bonis

Corridors biologiques : leçons d’une mise en œuvre

 

Lors de l’élaboration des deux premiers contrats de corridors biologiques de la Cluse de Chambéry en Savoie, les acteurs en place (conservatoires, collectivités, associations) n’avaient évidemment pas de recul sur cette nouvelle procédure régionale… il leur fallut faire des choix, prendre des orientations, assumer des partis pris.
Après quatre ans de travail, peut-on dire que ces choix étaient les bons ? Retour d’expérience…

Espaces naturels n°43 - juillet 2013

Aménagement - Gouvernance

Reconsidérer notre rapport au Vivant

 

Peu conscients de l’interdépendance entre non-humains et humains, ces derniers s’autorisent à décider ce qui est utile ou inutile, voire nuisible, et pourquoi pas à éradiquer des espèces vivantes. Des effets boomerang en résultent telles des maladies nosocomiales ; des pullulations de ravageurs dont les prédateurs n’existent plus ; la multiplication des résistances aux herbicides, pesticides, antibiotiques, etc., et pour les humains, l’appauvrissement d’écosystèmes qui entraîne des pénuries… ou pire.

Espaces naturels n°43 - juillet 2013

Édito