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Jean-Paul Crampe

 

La montagne est son domaine. JeanPaul Crampe a beau être à la retraite depuis quelques mois, il retourne quasiment chaque jour sur le terrain. Il est entré au Parc il y a plus de quarante ans et signe une carrière marquée par le goût d'en savoir plus et de transmettre les connaissances.

Portrait
Jean-Paul Crampe, ancien chef de secteur au Parc national des Pyrénées

Les conseils scientifiques, une spécialité française

 

UNE MODALITÉ D’INTERFACE QUI S’EST IMPOSÉE EN FRANCE

Aménagement - Gouvernance
Séance plénière du conseil scientifique du Parc national des Ecrins, 16 octobre 2015, Maison méditerranéenne des sciences de l'homme, Aix-en-Provence.

Séance plénière du conseil scientifique du Parc national des Ecrins, 16 octobre 2015, Maison méditerranéenne des sciences de l'homme, Aix-en-Provence. © G. Ronsin

Géraldine Le Duc

 

Depuis toute petite, Géraldine est passionnée par la faune. Elle est d'ailleurs devenue biologiste, et travaille comme chercheur. Mais sans contact avec la nature, pas possible de vivre sereinement. Elle commence donc par militer à la LPO, puis s'investit dans la photo. C'est sa façon de faire vivre sa passion naturaliste. « Je n'ai pas d'espèce de prédilection. Je pourrais rester des heures sur un passereau.

Espaces naturels n°53 - janvier 2016

Portrait
Géraldine Le Duc, photographe naturaliste

Observatoire de la biodiversité : pourquoi en créer un à l’échelle d’un territoire de projet ?

 

Organisés autour de la biodiversité, les observatoires peuvent être qualifiés d'observatoires « de contexte » ou « de société ». Le portage de ces observatoires par des structures impliquant directement des élus locaux (collectivités territoriales, syndicats mixtes...) apparaît comme un facteur de réussite. À ce jour, onze observatoires de la biodiversité à l’échelle de territoires de projet sont dénombrés :

Espaces naturels n°53 - janvier 2016

Aménagement - Gouvernance
Observatoires de la biodiversité

Le pari de la Tour du Valat

 

Le projet débute en 2003, la Tour du Valat propose aux villageois d’un hameau de Camargue (550 habitants) de cogérer un marais dont elle est propriétaire. Seul cadre imposé : les activités développées doivent respecter les enjeux environnementaux et privilégier le multi-usage. En accédant à cet espace naturel auparavant fermé, les villageois pourront en bénéficier pour leurs loisirs comme pour l’exploitation des ressources. Un processus associant propriétaire, villageois, scientifiques et acteurs locaux (éleveurs, chasseurs…) doit permettre de définir les objectifs de gestion du site.

Espaces naturels n°23 - juillet 2008

Aménagement - Gouvernance