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Qu’apprend-on des études de notoriété ?

 

Notoriété, réputation, image... On parle d’image notamment pour évoquer la représentation mentale que l’on se fait d’un lieu, d’un territoire ou d’une destination, qu’on le connaisse ou non, qu’on l’ait déjà fréquenté ou non. Au-delà d’une éventuelle visite, l’image que l’on se fait d’un territoire provient d’un mélange d’une multitude d’éléments : ce qu’on a pu en voir dans les médias ou sur internet, la façon dont des proches vous en parlent, votre propre expérience de voyages en tant que touriste, ce que votre imaginaire vous inspire…

Espaces naturels n°69 - janvier 2020

Accueil - Fréquentation
L’expérience d’activités sur le site contribue à l’élaboration de l’image que l’on se fait d’un territoire. © Céline Bellanger - Parc national des Calanques

L’expérience d’activités sur le site contribue à l’élaboration de l’image que l’on se fait d’un territoire. © Céline Bellanger - Parc national des Calanques

Faire que les réserves restent des refuges

 

La création et la gestion des réserves naturelles doivent quasi-systématiquement prendre en compte le paramètre cynégétique. Quand l’enjeu « oiseau d’eau » est fort, il convient de bien ajuster la pratique de la chasse pour qu’elle ne remette pas en question les objectifs de conservation.

Espaces naturels n°69 - janvier 2020

Gestion patrimoniale
Vol d'anatidés sur la Réserve naturelle nationale de Saint-Denis-du-Payré. © RNN de Saint-Denis-du-Payré

Vol d'anatidés sur la Réserve naturelle nationale de Saint-Denis-du-Payré. © RNN de Saint-Denis-du-Payré

Se concerter pour protéger

 

Le Lutétien du bassin de Paris constitue un point chaud de la paléobiodiversité mondiale. Le site paléontologique de Grignon (Thiverval-Grignon, 78) s’impose aujourd’hui comme son gisement phare avec plus de 1 200 espèces marines identifiées sur moins d'un hectare. À proximité, le site remarquable de la ferme de l’Orme (Beynes, 78) comprend pas moins de 400 espèces. Par chance, les pigments résiduels répartis sur les coquilles de mollusques restent préservés après 45 millions d’années d’enfouissement.

Espaces naturels n°68 - octobre 2019

Gestion patrimoniale
Échantillons de fossiles variés (à gauche) et Athleta (Neoathleta) citharoedus, MNHN A25029 (à droite) prélevés à Grignon et photographiés sous lumière UV. © P. Loubry - MNHN

Échantillons de fossiles variés (à gauche) et Athleta (Neoathleta) citharoedus, MNHN A25029 (à droite) prélevés à Grignon et photographiés sous lumière UV. © P. Loubry - MNHN

Regarder les usagers de la mer… de plus près

 

La fréquentation de la mer côtière s'intensifie et se diversifie dans nos sociétés. On observe une agmentation des interactions entres les activités et leur environnement susceptibles d’accroître les pressions et les impacts sur l’environnement marin, ainsi que les tensions ou conflits entre activités (conservation, pêche, loisir, transport maritime, énergie…).

Espaces naturels n°68 - octobre 2019

Accueil - Fréquentation
Archipel des Glénan.© LETG UMR 6554 - UBO

Archipel des Glénan.© LETG UMR 6554 - UBO

Un plan national d'actions pour l'Albatros d'Amsterdam

 

Ce n’est qu’en 1951 qu’est découverte une population d’albatros du genre Diomedea sur l’île Amsterdam, île subtropicale française de l’océan Indien. Elle sera décrite comme appartenant à une espèce à part entière en 1983 et nommée Albatros d’Amsterdam, Diomedea amsterdamensis. Cette nouvelle espèce endémique est alors au bord de l’extinction avec moins d’une dizaine de couples. Dès lors, des efforts sont entrepris pour protéger et restaurer l’espèce. Aujourd’hui, ses effectifs ne cessent d’augmenter. Au niveau mondial, les oiseaux marins constituent un groupe particulièrement vulnérable.

Espaces naturels n°67 - juillet 2019

Gestion patrimoniale
Pêcheries et agents pathogènes comptent parmi les principales menaces pesant sur les populations d'Albatros d'Amsterdam (Diomedia amsterdamensis). © Marine Bely

Pêcheries et agents pathogènes comptent parmi les principales menaces pesant sur les populations d'Albatros d'Amsterdam (Diomedia amsterdamensis). © Marine Bely

Des étudiants en design au service des territoires

 

Les Parcs naturels régionaux (PNR) ont l’habitude de collaborer avec des universités ou écoles supérieures spécialisées dans l’environnement, l’aménagement du territoire ou encore les sciences humaines et sociales.

Espaces naturels n°67 - juillet 2019

Accueil - Fréquentation
Cet échange était l'occasion d'aborder des problématiques récurrentes avec le regard neuf et extérieur des étudiants en design. © Esdmaa

Cet échange était l'occasion d'aborder des problématiques récurrentes avec le regard neuf et extérieur des étudiants en design. © Esdmaa

Gestionnaires et étudiants : une coopération en faveur de l'Iberis

 

C'est en 2010 que la gestion du petit site naturel de Bonbouillon, en Isère, a été mise en place. L'objectif était de permettre le maintien de l'Iberis de Timeroy, classée vulnérable en France métropolitaine (voir encadré p.54). L'association Lo Parvi est à l'origine des démarches auprès du propriétaire et du département de l'Isère, qui ont permis de mettre en place une gestion originale, intégrant des étudiants de l'Institut de l'environnement et des technologies (IET) de Lyon.

Gestion patrimoniale
La fauche et l'export de la matière permettent de freiner la dynamique végétale.© O. Iborra - IET

La fauche et l'export de la matière permettent de freiner la dynamique végétale.© O. Iborra - IET

Le retour de la Saxifrage oeil-de-bouc

 

VVivant dans les tourbières de transition, la Saxifrage oeil-de-bouc trouve son optimum dans les milieux pauvres en nutriments avec une circulation permanente d’eau moyennement minéralisée. Hyperspécialisée et faiblement compétitive, cette espèce n’aime ni l’excès, ni le manque d’eau, ce qui la rend particulièrement fragile. Lorsque la nappe d’eau est haute, certaines espèces à croissance rapide comme les sphaignes, finissent par la faire disparaître. Si, au contraire, la nappe est trop basse, ce sont les graminées qui prennent le dessus en l’étouffant.

Espaces naturels n°65 - janvier 2019

Gestion patrimoniale
Production des plants de saxifrage par Cédric Bouvier du Jardin botanique de l'université de Franche-Comté et de la ville de Besançon © Julien Guyonneau - CBNFC-ORI

Production des plants de saxifrage par Cédric Bouvier du Jardin botanique de l'université de Franche-Comté et de la ville de Besançon © Julien Guyonneau - CBNFC-ORI

La gestion des espaces naturels à l’heure des « big data »

 

Janvier 2018. Une nouvelle surprenante est relayée par l’ensemble de la presse planétaire : une application destinée aux sportifs a permis la localisation de bases secrètes américaines en Afghanistan, en Irak et en Syrie(1) ! Comment une simple application embarquée sur un smartphone a-t-elle pu conduire à un tel résultat ? La faute à un algorithme qui a permis la production d’une carte de chaleur des zones de pratique (course à pied, cyclisme, trail, sports nautiques) à partir des données collectées par l’application Strava(2).

Espaces naturels n°65 - janvier 2019

Accueil - Fréquentation
Image capturée par un piège-photo au milieu d'une colonie de laro-limicoles à Frontignan (34) dans le cadre d'une étude sur le dérangement. © CEN-LR

Les golfs s’engagent

 

Prévenir l’érosion de la biodiversité implique de mener des actions sur l’ensemble des territoires, des espaces naturels remarquables aux espaces plus anthropisés. Ainsi, si la préservation des zones naturelles est une nécessité pour tenter d'enrayer la perte de biodiversité qui s’accélère, les espaces golfiques ont un rôle à jouer et peuvent accueillir une biodiversité souvent méconnue mais qui mérite d’être reconnue.

Espaces naturels n°64 - octobre 2018

Gestion patrimoniale
Tortue d'Hermann - Crédit : A. Lacoeuilhe

Tortue d'Hermann - Crédit : A. Lacoeuilhe