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Malheureux changement de gestion à la Réserve de biosphère de la Pendjari

 

Bénin. Un impressionnant dispositif a été mis en place afin de gérer la Réserve de biosphère de la Pendjari.
Dix années ont été nécessaires pour affiner une gouvernance impliquant toutes les composantes de la population locale. Les acteurs mobilisés ont réussi à légitimer les règles de la réserve ainsi qu’à assurer la légalité.
Le bilan met ainsi en avant une diminution du braconnage et une augmentation des populations animales avec, évidemment, des conséquences positives sur l’attractivité de la réserve.

Vu ailleurs

On l’oublie souvent : tout espace naturel peut être frappé par des événements traumatiques

 

Martin, le 27 décembre 1999, puis Xynthia, le 28 février 2010, ont imposé une submersion marine à six réserves naturelles nationales littorales gérées par la LPO(1). Nous n’avions pas intégré la notion de risques biologiques, humains, psychologiques, sanitaires, techniques… dans la gestion de nos espaces, dans nos plans de gestion. Nous avons été rattrapés par la réalité… Puisse notre expérience être bénéfique à d’autres.

Le courrier

Une commercialisation de la nature ?

 

La croissance des smartphones et applications grand public liées au GPS a apporté un changement majeur dans notre société : l’information est accessible constamment ! Il y a quelques années, les connaissances étaient contenues dans les livres. Aujourd’hui, vous êtes dans votre jardin, vous voulez savoir quelle est la meilleure manière de planter des choux ? Tirez votre smartphone de votre poche et tapez dans le moteur de recherche : « comment planter choux. »

Le courrier

Contre les boues illégales, qui détient les clés de l’action ?

 

Urbanisation, changement de destination des terres, aménagement d’irrigation… depuis plus d’un siècle, le delta du Gediz subit une évolution dramatique. Le lieu a connu, tour à tour, la création puis l’agrandissement des salines, la multiplication des canalisations d’eau. De riches habitats ont aujourd’hui disparu et, avec eux, de nombreuses espèces. Ni la convention de Ramsar, ni la Réserve de faune qui s’applique dans ce périmètre (8 000 ha enregistrés) ne s’avèrent suffisantes et les inquiétudes vont croissant.

Vu ailleurs

Soyons prêts

 

Je dois vous le dire tout net : je ne mettrai plus les pieds dans un espace naturel, c’est vraiment trop risqué !
Après avoir assisté au dernier forum des gestionnaires qui traitait des risques naturels, des tremblements de terre, des terribles maladies contagieuses en passant par les inondations et les incendies… Il y a de quoi ressentir quelques frissons, non ? Certes, je plaisante ; cependant, la somme des expériences dont les intervenants nous ont fait part mérite bien qu’on se pose quelques questions sur la nécessaire anticipation des crises au sein de nos structures.

Le courrier

Et si on faisait simple ?

 

J’ai été amené depuis de nombreuses années à lire ou corriger de nombreux plans de gestion, documents d’objectifs, dossiers de presse, cahiers techniques… édités par les gestionnaires d’espaces protégés ou par les associations environnementalistes et j’ai très souvent été surpris par l’emploi inapproprié des adjectifs botanique, floristique et végétal ou zoologique, faunistique et animal. Dans certains cas, cela tourne au jargon technocratique ou au non-sens, ce qui ne facilite sûrement pas une bonne communication avec les élus, les décideurs ou le grand public.

Le courrier