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« Plus on sait, plus on sait qu’on ne sait pas »

 

La Réserve naturelle de Camargue1, la plus ancienne de France (créée en 1926), n’a connu que deux conservateurs dans son histoire : Gabriel Tallon, de 1926 à 1966, et Éric Coulet, en place depuis 1973.
Éric est né en Arles. Formé par la science, doctorat d’écologie appliquée en poche, il dit avoir tout appris « sur le tas » concernant la nature et l’écologie camarguaise.
Sa motivation ? Au début, faire quelque chose pour « son pays qui foutait le camp »…

Management - Métiers

Passez à la communication interactive

 

Les décisions concernant l’utilisation des terres et des ressources naturelles sont, de plus en plus souvent, prises dans un processus de consultation et de négociation dans lequel figurent des acteurs aux intérêts divergents. Savoir communiquer, dans le cadre d’une approche participative visant à définir des objectifs en commun, est alors devenu essentiel ; une situation conflictuelle peut, en effet, entraver la mise en œuvre d’une politique de protection de la nature.

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Géomaticien : le métier s’organise

 

Née du mariage de la géographie et de l’informatique, la géomatique est connue du grand public depuis l’irruption de la cartographie dynamique de type Google Earth. Dans le domaine des espaces naturels, la géomatique joue un rôle majeur pour la connaissance ainsi que pour le suivi des territoires. En effet, les cartes et analyses spatiales produites grâce aux systèmes d’informations géographiques (SIG) permettent de rendre des données compréhensibles et accessibles. Les gestionnaires peuvent ainsi suivre l’évolution des territoires et spatialiser leurs enjeux.

Management - Métiers

Le plan de gestion avec modération

 

Certes, l’outil plan de gestion est incontournable. Toutes les organisations internationales de conservation le confirment. « La planification de la gestion est une étape essentielle pour un management efficace des aires protégées », peut-on lire dans le guide de l’IUCN1.
Et pourtant… la démarche rencontre parfois quelques écueils, en particulier dans les pays en développement. Est-ce le syndrome du « trop bien faire » ou bien est-ce réconfortant d’afficher une référence méthodologique solide permettant de justifier action ou non-action ?
On y va

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