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Sébastien Reeber a signé LE guide de référence pour la reconnaissance des canards, des cygnes et des oies.

 

Sébastien Reeber est en charge, au sein de la Société nationale de protection de la nature (SNPN), du suivi ornithologique à la Réserve naturelle nationale du lac de Grand-Lieu, qui couvre 2 700 ha sur les 6 300 ha de lac naturel au sud-ouest de Nantes. Mais si son nom vous dit quelque chose, c’est peut-être (aussi) parce que vous avez consulté l’ouvrage Canards, cygnes et oies d’Europe, d’Asie et d’Amérique du Nord qu’il a écrit et illustré1. Un livre dont la diffusion internationale contraste avec la modestie sympathique de son auteur.

Espaces naturels n°65 - janvier 2019

Portrait
Sébastien Reeber, ornithologue à la Réserve nationale du lac de Grand-Lieu © SNPN

Sébastien Reeber, ornithologue à la Réserve nationale du lac de Grand-Lieu © SNPN

Chercheurs - gestionnaires d’espaces naturels protégés : mieux collaborer

 

Les « partenariats pour la réalisation des objectifs » constituent un des 17 objectifs du développement durable du Programme des Nations unies pour le développement, aux côtés de la « vie aquatique » et de la « vie terrestre ». L’heure est aux collaborations et aux partenariats. Les chercheurs et les gestionnaires d’Espaces naturels protégés (ENP), en particulier, sont encouragés à travailler ensemble et à le faire savoir.

Espaces naturels n°65 - janvier 2019

Études - Recherches
Une étude menée par la Fondation pour la recherche sur la biodiversité propose des recommandations pour une meilleure collaboration entre chercheurs et gestionnaires d'espaces naturels.

Une étude menée par la Fondation pour la recherche sur la biodiversité propose des recommandations pour une meilleure collaboration entre chercheurs et gestionnaires d'espaces naturels.

Maîtriser l’impact de l’apiculture sur les insectes butineurs sauvages

 

L’intensification de l’agriculture a profondément modifié les paysages ruraux au cours des cinq dernières décennies, affectant la durabilité des exploitations apicoles. Confrontée à un manque de territoires d’accueil de qualité, l’apiculture productive a désormais recours à des transhumances saisonnières, parfois massives, vers des espaces naturels protégés.

Espaces naturels n°65 - janvier 2019

Aménagement - Gouvernance
Mesure de la quantité de nectar stockée dans le jabot d'une Abeille sauvage à l'aide d'un tube capillaire. Cette technique de prélèvement non-invasive permet ensuite de relâcher les insectes dans leur environnement. © Richard Nouaze - Inra

Mesure de la quantité de nectar stockée dans le jabot d'une Abeille sauvage à l'aide d'un tube capillaire. Cette technique de prélèvement non-invasive permet ensuite de relâcher les insectes dans leur environnement. © Richard Nouaze - Inra

Laurent Audras

 

Laurent Audras est d'abord un passionné de nature. Comme beaucoup d'élus locaux, il a commencé son engagement dans les associations, avant d'assurer des mandats électoraux. Il connaît son environnement naturel comme sa poche par les sports qu'il pratique près de chez lui, sur la montagne de Crussol (Saint-Péray, Ardèche). Et c'est via le VTT, la randonnée ou le trail « hors course » qu'il aborde la nécessaire protection de l'endroit.

Espaces naturels n°57 - janvier 2017

Portrait
Laurent Audras

Changement climatique : quel rôle pour les espaces naturels protégés ?

 

Les espaces naturels protégés vivent le changement climatique au quotidien. La modification des températures perturbe les grands cycles géochimiques et exerce une pression forte sur les écosystèmes. Au niveau mondial, l'érosion de la biodiversité, bien illustrée par la chute entre 1970 et 2010 de 52 % de l'Indice Planète Vivante du WWF, est due aux effets conjugués et souvent synergiques des différents changements globaux... dont le changement climatique.

Espaces naturels n°57 - janvier 2017

Aménagement - Gouvernance
tortues marines

Pollution lumineuse et biodiversité : un enjeu pour l’ensemble du territoire

 

L’impact de la pollution lumineuse a été mis en évidence dans les années 1960 par des astronomes gênés dans leurs observations du ciel par l’éclairage artificiel. Il faudra attendre près de vingt ans pour que les impacts de la pollution lumineuse sur la biodiversité soient documentés et près de vingt ans supplémentaires pour qu’il commence à être pris en compte. En 2004, le phénomène est défini : « lumière artificielle qui altère le cycle naturel jour/ nuit (nycthéméral) et qui, en conséquence, peut affecter les organismes vivants et leurs écosystèmes. »1

Espaces naturels n°57 - janvier 2017

Études - Recherches
Patrimoine de la Nation