Intendance du territoire
Il est utile de revenir sur la traduction du concept de land stewardship (cf. Espaces naturels n°44, p.12), souvent utilisé aux États-Unis pour qualifier des pratiques de gestion de l’environnement. Le concept est mal identifié en Europe et l’expression française est héritée du québécois.
Espaces naturels n°54 - avril 2016
Accepter un espace public redessiné
Tolérer les herbes aux pieds des murs, désacraliser le trottoir, s’approprier l’espace public, etc. Quelle meilleure approche que le street art pour changer les perspectives de nos rues ? En effet, par habitude, l’herbe a perdu sa place dans l’espace urbain. Elle y est devenue une « mauvaise herbe » indésirable voire un signe de saleté. Ce qui est une difficulté quand on a pour objectif de limiter l'usage des pesticides – pour, en l'occurrence, prévenir les risques de transfert de contaminants vers les zones humides littorales.
Espaces naturels n°54 - avril 2016
L’économie au service de la gestion des invasions biologiques
Les invasions biologiques (i.e. les espèces exotiques envahissantes) génèrent souvent des atteintes à l’environnement et aux activités économiques en réduisant les services écosystémiques et l’utilisation efficace des ressources. Ici, la science économique permet d’évaluer les dommages infligés aux sociétés par ces espèces et de mesurer l’efficacité des mesures de gestion possibles.
Espaces naturels n°54 - avril 2016
Déridez vos colloques, ça fait du bien !
Il peut y avoir différentes formes d'interventions lors de rencontres professionnelles, mais quelles qu'elles soient, les deux buts seront, grâce à l'humour :
• de rendre la journée plus digeste,
• de donner une bonne image de la structure organisatrice.
Deux points essentiels à la réussite de l'événement.
Espaces naturels n°52 - octobre 2015
L’empreinte écologique
De plus en plus médiatisé dans le monde de la conservation et du développement durable, notamment par le WWF, ce concept repose sur la surface de terres productives nécessaires pour fournir les biens et services qu’utilisent les humains, et pour absorber leurs déchets. Calculée à diverses échelles (globale, nationale...), et exprimée en « hectares globaux » par habitant, l’empreinte permet des comparaisons entre pays. Elle est souvent comparée à la biocapacité, qui est la capacité intrinsèque de production et d’absorption des écosystèmes.
Espaces naturels n°52 - octobre 2015