Articles archivés correspondant à votre recherche
1 - 5 résultats sur 5

Ré-ensauvagement

 

Le ré-ensauvagement doit permettre aux écosystèmes de retrouver le maximum de leur fonctionnalité, avec les espèces et les habitats qui les caractérisent. Cette approche est en partie une réponse à deux changements majeurs dans les relations entre l’homme et la nature. En premier lieu, la notion de protection qui a permis à des espèces autrefois persécutées comme les rapaces et les grands prédateurs, de revenir donner vie à des territoires devenus simples paysages.

Espaces naturels n°69 - janvier 2020

Des mots pour le dire
Gilbert Cochet

Par Gilbert Cochet, professeur agrégé des
sciences de la vie et de la terre, auteur de
Ré-ensauvageons la France

L'UICN réunit la planète biodiversité en juin prochain

 

Quels sont selon vous les enjeux de 2020 ?
Nous sommes face à un risque d’extinction massif des espèces avec des taux 100 à 10 000 fois supérieurs à la normale. 2020 est vraiment une année « make or brake » pour le futur de la Nature et de l’Humanité.

Espaces naturels n°69 - janvier 2020

L'entretien
Grethel Aguilar, directrice générale de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN)

Grethel Aguilar, directrice générale de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN)*

© UICN

Intendance du territoire

 

Il est utile de revenir sur la traduction du concept de land stewardship (cf. Espaces naturels n°44, p.12), souvent utilisé aux États-Unis pour qualifier des pratiques de gestion de l’environnement. Le concept est mal identifié en Europe et l’expression française est héritée du québécois.

Des mots pour le dire
Jacques Lepart

L’empreinte écologique

 

De plus en plus médiatisé dans le monde de la conservation et du développement durable, notamment par le WWF, ce concept repose sur la surface de terres productives nécessaires pour fournir les biens et services qu’utilisent les humains, et pour absorber leurs déchets. Calculée à diverses échelles (globale, nationale...), et exprimée en « hectares globaux » par habitant, l’empreinte permet des comparaisons entre pays. Elle est souvent comparée à la biocapacité, qui est la capacité intrinsèque de production et d’absorption des écosystèmes.

Espaces naturels n°52 - octobre 2015

Des mots pour le dire

Une agence pour aller plus loin

 

Espaces naturels n°52 - octobre 2015

L'entretien
Annabelle Jaeger