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Lire pour enrichir notre rapport au monde (naturel)

 

Nous autres professionnels de la nature sommes amenés à lire à longueur de journées des pages et des pages de littérature technique, littérature grise des rapports et, de plus en plus, littérature incolore du net. Noyés sous la paperasse, essayons pourtant de ne pas oublier que lire est aussi un formidable plaisir ! 

Espaces naturels n°53 - janvier 2016

Autrement dit
Jean-Louis Michelot

« Homo natura », comme le disait Spinoza.

 

Espaces naturels n°53 - janvier 2016

L'entretien
Odile Marcel

Ce qu'il faut retenir des nouvelles MAEC

 

La nouvelle PAC 2014-2020 a apporté des avancées concernant les MAE 1 . Après les OGAF, les OLAE, les CTE, les CAD et les MAET, on parle désormais de MAEC (C pour climatiques). Les intentions étaient de partir d’une logique de projets de territoire, qui va dans le sens d'une collaboration plus forte entre gestionnaires d'espaces naturels, agriculteurs et autres partenaires.

Espaces naturels n°53 - janvier 2016

Droit - Police de la nature

Observatoire de la biodiversité : pourquoi en créer un à l’échelle d’un territoire de projet ?

 

Organisés autour de la biodiversité, les observatoires peuvent être qualifiés d'observatoires « de contexte » ou « de société ». Le portage de ces observatoires par des structures impliquant directement des élus locaux (collectivités territoriales, syndicats mixtes...) apparaît comme un facteur de réussite. À ce jour, onze observatoires de la biodiversité à l’échelle de territoires de projet sont dénombrés :

Espaces naturels n°53 - janvier 2016

Aménagement - Gouvernance
Observatoires de la biodiversité

Faites taire la lumière

 

Le pétrel de Barau, espèce endémique de La Réunion, passe la majorité de sa vie en mer et niche dans les pentes des plus hauts sommets de l’île. Sa survie est menacée par la pollution lumineuse (1). En effet, au moment de leur premier envol (avril-mai) qui a lieu de nuit, les jeunes pétrels survolent la bande littorale très urbanisée (cf. carte p. 54), sont attirés par les éclairages et s’échouent au sol. Ils sont alors voués à une mort certaine : avec leurs longues ailes et leurs pattes palmées très en arrière du corps, ils sont incapables de redécoller.

Espaces naturels n°40 - octobre 2012

Aménagement - Gouvernance