Le Dossier

Biodiversité des outre-mers

Enjeux universels, solutions singulières
Les erreurs ? On va les payer très cher

Ancien directeur du Conservatoire botanique national de Mascarin (île de La Réunion), Vincent Boullet nous donne quelques clés pour comprendre comment se pose la question de la sauvegarde de la biodiversité dans ces territoires d’outre-mer.

© Bruno Dutreve

Pas de salut sans réseautage

Conserver la biodiversité ultra-marine suppose d’intégrer des réseaux. Mutualiser informations, outils et analyses conditionne l’efficacité de l’action. Le Groupe d’étude et de protection des oiseaux en Guyane fait la démonstration.

Les habitants des atolls définissent leurs règles en référence à leur culture

En Polynésie, le dialogue constitue l’outil privilégié pour favoriser une gestion durable des ressources.

En Polynésie, l’analyse écorégionale marine vient de s’achever

La Convention sur la diversité biologique (traité international adopté à Rio de Janeiro en 1992) se fixe pour objectif le développement de réseaux représentatifs d’aires marines protégées d’ici 20121. Ces réseaux sont identifiés par le biais d’analyses écorégionales.

Prendre en compte l’histoire et l’organisation sociale

En Nouvelle-Calédonie, l’inscription du lagon au patrimoine de l’Unesco relève le défi d’une gestion participative. Elle prend en compte la complexité de la construction sociale et traite de la relation des hommes entre eux, à propos de la nature.

« Ici, la nature se range du côté des opprimés »

Romancier, poète et essayiste, né en Guadeloupe Daniel Maximin est en charge de l’organisation de l’année des outre-mers français pour 2011.