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Comment la préoccupation environnementale apparaît dans les Églises

 

L'encyclique du pape François ne tombe pas par hasard. Si l'église prend position en 2015 sur le thème de l'écologie en enjoignant les fidèles à agir, c'est que la prise de conscience est maintenant suffisamment importante. Dominique Lang, assomptionniste et journaliste à l'hebdomadaire Pèlerin, explique : « Il y a une prise de conscience depuis les années 70. Les dialogues sur le sujet remontent à Paul VI qui a quand même dit qu'on risquait la mort biologique de la planète si on ne faisait rien. C'est fort.

Espaces naturels n°52 - octobre 2015

Vu ailleurs

© Vanessa Chambard - Le monastère orthodoxe de Solan, dans le Gard, pratique l'agro­écologie depuis la rencontre des religieuses avec Pierre Rabhi. 60 hectares, 17 sœurs. Le vignoble est cultivé en agriculture bio­ logique. Une petite  parcelle de zone humide a même été clas­sée N2000 en 2009. La présence d'écrevisses à pattes blanches y est le signe de la bonne gestion du domaine. Un article de juin dernier leur est consacré dans National géographic.

L’empreinte écologique

 

De plus en plus médiatisé dans le monde de la conservation et du développement durable, notamment par le WWF, ce concept repose sur la surface de terres productives nécessaires pour fournir les biens et services qu’utilisent les humains, et pour absorber leurs déchets. Calculée à diverses échelles (globale, nationale...), et exprimée en « hectares globaux » par habitant, l’empreinte permet des comparaisons entre pays. Elle est souvent comparée à la biocapacité, qui est la capacité intrinsèque de production et d’absorption des écosystèmes.

Espaces naturels n°52 - octobre 2015

Des mots pour le dire

Aux sources d’une nouvelle approche de la conservation ?

 

La diversité des participants et des problématiques témoigne de la multifonctionnalité des aires protégées autant qu’elle traduit une évolution dans les relations entre les sociétés et la nature. En un sens, ce congrès mondial des parcs constitue une transition entre deux périodes dans l’histoire récente de la conservation.

Vu ailleurs

Salle des pavillons du 6e Congrès mondial des parcs (Parc olympique de Sydney). © Thierry Lefebvre - UICN

Ce que peuvent dire les figures rhétoriques

 

Parmi les figures rhétoriques que la langue permet de construire, les oxymores sont maintenant bien connus. Les « silences éloquents » et autres « soleil noir de la mélancolie »... nous ont familiarisés avec cette sorte de trope qui enchante les poètes mais que l'homme de la rue peut aussi bien produire à foison.

Des mots pour le dire

Tourisme durable

 

Le tourisme durable est un tourisme respectueux des principes du développement durable et de ses trois piliers, désormais célèbres, économique, social et environnemental. Seul un bon équilibre entre ces trois valeurs, a priori fort différentes, peut en garantir l’esprit. Cependant, une jungle d’adjectifs gravite autour de ce concept au point d’en rendre le sens plus flou. Ainsi, on parle de tourisme équitable, alternatif, solidaire, responsable, vert ou encore rural, pour aller jusqu’à la notion d’écotourisme, aujourd’hui fort répandue, mais dont les contours sont encore mal définis.

Espaces naturels n°41 - janvier 2013

Des mots pour le dire

« Nous construisons les bases d’une coopération transfrontalière »

 

Entre la France et l’Allemagne, une coopération d’un genre particulier est en marche. Projet pilote, il vise la création d’une trame verte et bleue transfrontalière dont le tracé évolue dans la Réserve de biosphère transfrontalière (RBT) Vosges du Nord – Pfälzerwald. Sa déclinaison concrète prévoit entre autres la création d’écoponts et de passerelles à gibier. Si les porteurs du projet aiment à souligner les succès de cette collaboration mise en place depuis 1983, c’est que ce travail constitue un long chemin pavé d’ornières.

Espaces naturels n°41 - janvier 2013

Vu ailleurs

La Suède dispose d’une base de données naturalistes

 

Comment partager de manière efficace et rapide les données ornithologiques collectées sur le territoire suédois ? Comment être au courant des informations naturalistes les plus récentes ? Habité par ces questions, Johan Nilsson, lui-même ornithologue, imagine de développer une base de données sur le web que tout observateur pourrait renseigner. Dans un premier temps, il développe seul l’application puis, très vite, collabore avec le Club 3001. Mais le projet intéresse rapidement l’Agence suédoise pour la conservation de l’environnement.

Espaces naturels n°7 - juillet 2004

Vu ailleurs