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Former la faune sauvage ?

 

Dans de nombreuses régions du monde, des prédateurs introduits ont atteint des densités de population telles que leur éradication est aujourd’hui impossible. Cela a parfois conduit certaines de leurs espèces-proies natives au bord de l’extinction. C’est le cas en Australie, où le Bandicoot-lapin et le Rat-kangourou de Lesueur, deux petits marsupiaux, sont aujourd’hui très menacés par les chats harets, présents même dans les milieux naturels les plus reculés. Leur « naïveté » face à ce prédateur introduit est un facteur aggravant.

Espaces naturels n°69 - janvier 2020

Lecteurs penseurs
L'actu de la biodiversité sélectionnée pour vous sur Scoop.it

L'actu de la biodiversité sélectionnée pour vous sur Scoop.it

Orchestrer des rencontres pour lancer une dynamique territoriale

 

Réussir à mobiliser, cela n’a rien d’évident. C’est après ces deux jours à Amiens que l’on peut affirmer que les premières Rencontres régionales ERc (i.e. « Éviter-Réduire-compenser1) ont atteint l’objectif de l’organisateur2. Sur les deux journées, respectivement 363 et 306 personnes ont participé : les collectivités, institutionnels, services de l’État, chercheurs, bureaux et autres conseils.

DES FORMATS ORIGINAUX POUR RÉPONDRE À TOUS LES PROFESSIONNELS

Espaces naturels n°69 - janvier 2020

Méthodes - Techniques
Après les Rencontres, des clubs permettront aux acteurs de poursuivre les échanges et le partage d'expériences sur la séquence ERC. 165 feuilles expriment les attentes quand tu format de ces clubs. © Voix active - Maxime Lemaire

Après les Rencontres, des clubs permettront aux acteurs de poursuivre les échanges et le partage d'expériences sur la séquence ERC. 165 feuilles expriment les attentes quand tu format de ces clubs. © Voix active - Maxime Lemaire

À quoi sert la Convention sur la diversité biologique ?

 

En 2020, la Convention sur la diversité biologique (CDB) se dotera d’un nouveau cadre mondial à l’occasion de la 15e réunion de la Conférence des parties (COP15). Le Plan stratégique pour la biodiversité actuellement établi (2011-2020), fondé sur les 20 objectifs formulés à Nagoya en 2010 (dits Objectifs d’Aichi, du nom de la préfecture où s’est tenue à l’époque la COP) arrivant à son terme, l’heure est venue de fixer un nouveau plan.

Espaces naturels n°69 - janvier 2020

Aménagement - Gouvernance
Depuis 2016, la mer de Ross, baie profonde de l'océan Austral, fait partie des plus grande réserves marines de la planète. © Francisco Ardini - PNRA

Depuis 2016, la mer de Ross, baie profonde de l'océan Austral, fait partie des plus grande réserves marines de la planète. © Francisco Ardini - PNRA

Une mare plutôt qu’une citerne incendie

 

La loi impose aux communes de prévoir des réserves d’eau dans lesquelles il est possible de puiser en cas d’incendie. La création de mares peut être une alternative aux citernes.
Le Parc naturel régional des Caps et marais d’Opale a cependant étudié les conditions de leur mise en œuvre.

Espaces naturels n°44 - octobre 2013

Méthodes - Techniques

L’avenir est-il dans l’obligation de résultats ?

 

Du point de vue de l’agriculture, les mesures agri-environnementales (1) (MAE, cf. encart) apparaîssent comme un succès. En revanche, leur effet positif sur l’environnement et la biodiversité est matière à débat. Dans les arènes européennes et internationales, on réfléchit à mettre en place des approches axées sur le résultat plutôt que sur les obligations de moyens habituellement requises.

Espaces naturels n°44 - octobre 2013

Aménagement - Gouvernance

Contre l’orpaillage clandestin : la télédétection

 

Le projet s’est développé dans un contexte de plus en plus alarmant sur le plateau des Guyanes. En effet, l’augmentation continue du prix de l’or sur le marché international a accéléré le développement de l’orpaillage clandestin : depuis les années 90, les activités minières ont plus que quintuplé en surface.

Espaces naturels n°23 - juillet 2008

Méthodes - Techniques

Le pari de la Tour du Valat

 

Le projet débute en 2003, la Tour du Valat propose aux villageois d’un hameau de Camargue (550 habitants) de cogérer un marais dont elle est propriétaire. Seul cadre imposé : les activités développées doivent respecter les enjeux environnementaux et privilégier le multi-usage. En accédant à cet espace naturel auparavant fermé, les villageois pourront en bénéficier pour leurs loisirs comme pour l’exploitation des ressources. Un processus associant propriétaire, villageois, scientifiques et acteurs locaux (éleveurs, chasseurs…) doit permettre de définir les objectifs de gestion du site.

Espaces naturels n°23 - juillet 2008

Aménagement - Gouvernance