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Un prix pour la nature ?

 

Personne n’a jamais contesté les services sociaux et culturels rendus par la nature. Pour autant, vouloir calculer l’équivalent monétaire de ses services est sujet à polémiques au sein de l’orthodoxie naturaliste.
Considérer la nature sous un angle économique est pourtant un risque à prendre et même une opportunité à saisir.

Espaces naturels n°25 - janvier 2009

Édito

Patrimonial

 

Génétique, naturel ou culturel, le patrimoine a gardé de son acception notariale le sens d’un héritage reçu, l’affirmation d’une continuité intergénérationnelle. Dire du patrimoine qu’il est un bien rappelle qu’il est à la fois une réalité matérielle et une valeur pour l’esprit. Ainsi, le code du patrimoine est-il celui de la culture.

Espaces naturels n°25 - janvier 2009

Des mots pour le dire

Qu’attendre du Grenelle de l’Environnement ?

 

Promesse faite à neuf associations1 le 31 mars 2007 par le candidat Nicolas Sarkozy, le Grenelle de l’Environnement a été annoncé par le nouveau Président de la République dès le troisième jour qui a suivi son installation à l’Élysée. Il a alors fixé les règles du jeu de cette négociation entre cinq collèges d’acteurs : les associations, les entreprises, les organisations syndicales, les collectivités, l’État.

Espaces naturels n°20 - octobre 2007

Édito

Réserves naturelles d’outre-mer, un enjeu de taille

 

Un privilège peut-être, une responsabilité certainement ! En matière de biodiversité, l’outre-mer français regroupe un grand nombre de régions biogéograghiques du globe et héberge plusieurs « points chauds » de biodiversité1. Sa dimension marine est souvent méconnue alors que la France possède là le deuxième domaine maritime au monde. Or, d’un « point chaud » à l’autre, la présence et l’activité humaines peuvent être très différentes : d’un côté certaines îles à densité de population et croissance démographique fortes, de l’autre des espaces pratiquement inoccupés.

Édito

Ingénierie écologique

 

Le terme d’ingénierie écologique émergea dans les années 60 sous la plume d’un écologue américain, Howard Thomas Odum : il fut d’abord formulé en termes de flux d’énergie, c’est-à-dire qu’il quantifiait l’échange d’énergie entre les différents compartiments d’un écosystème et l’utilisation d’énergie à l’intérieur de ces compartiments. Était qualifié d’ingénierie écologique tout aménagement, réalisation ou évaluation d’ingénieur dans lequel les flux d’énergie dépensés par l’homme étaient beaucoup plus faibles que les flux d’énergie mis en œuvre « naturellement ».

Des mots pour le dire

Gouvernance et biologie de la conservation

 

Le souci de bonne gouvernance est au cœur des préoccupations des gestionnaires d'espaces protégés.
Concevoir une éthique collective et mettre en œuvre des règles de comportement fait partie de leurs préoccupations. Que les populations participent à l’élaboration des projets, aux côtés des acteurs gouvernementaux et non gouvernementaux, leur paraît essentiel. Mais comme gestionnaires, ils doivent insister particulièrement sur l'intégration des objectifs de conservation dans les politiques sociales et économiques.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Édito