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Les communautés à la barre

 

En Afrique subsaharienne, la gestion des ressources naturelles reste encore très souvent centralisée en raison des politiques gouvernementales héritées des époques post-coloniales. Mais les communautés locales, dont les modes de consommation dépendent fortement des ressources naturelles, prennent de plus en plus conscience de l’intérêt de préserver durablement leur capital naturel et du rôle important qu’elles ont à jouer pour améliorer la gestion des espaces.

 

Espaces naturels n°63 - juillet 2018

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Le lac Bosumtwi (Ghana), reconnu réserve de biosphère par l'Unesco en 2016, dépend d'une zone de gestion communautaire des ressources qui mêle conservation et développement d'activités génératrices de revenus.

Le lac Bosumtwi (Ghana), reconnu réserve de biosphère par l'Unesco en 2016, dépend d'une zone de gestion communautaire des ressources qui mêle conservation et développement d'activités génératrices de revenus.

Un développement durable qui vient des communautés locales

 

La RMBMU a joué son rôle d’accompagnement de la communauté dans le développement d’une vision intégrant le développement durable et responsable. Elle a pour cela organisé en 2009 un forum de mobilisation afin de rassembler les acteurs du développement local et régional autour des enjeux socio-économiques et environnementaux.

Espaces naturels n°49 - janvier 2015

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Au sommet des Mont Groulx

Au sommet des Mont Groulx © Micheal Jones

Allez-y, l’accueil est leur point fort

 
Les espaces protégés anglais ressemblent beaucoup à nos parcs naturels régionaux et il faut surtout visiter l’une des 9 réserves du Wildfowl and Wetlands Trust (WWT) au Royaume-Uni, une association créée en 1946 par Peter Scott. David Paynter, responsable technique de la réserve de Slimbridge au nord de Bristol explique la politique d’aménagements des réserves du WWT : l’objectif principal n’est pas d’attirer les naturalistes, mais le grand public.
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© Jean-François Noblet

Contre les boues illégales, qui détient les clés de l’action ?

 

Urbanisation, changement de destination des terres, aménagement d’irrigation… depuis plus d’un siècle, le delta du Gediz subit une évolution dramatique. Le lieu a connu, tour à tour, la création puis l’agrandissement des salines, la multiplication des canalisations d’eau. De riches habitats ont aujourd’hui disparu et, avec eux, de nombreuses espèces. Ni la convention de Ramsar, ni la Réserve de faune qui s’applique dans ce périmètre (8 000 ha enregistrés) ne s’avèrent suffisantes et les inquiétudes vont croissant.

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Trois ans pour réduire les invasions végétales

 

Le Parc national des oiseaux du Djoudj a été créé en 1971. Ces trente-cinq années d’existence se décomposent en deux grandes périodes : avant et après la mise en service du barrage de Diama (début des années 1990). Son but est d’empêcher la remontée de la langue salée venant de la mer, de constituer une réserve d’eau douce et de permettre, notamment, la culture de riz de contre-saison. Mais le barrage de Diama a considérablement modifié les écosystèmes du delta.
Le barrage, source première de tous les maux

Espaces naturels n°17 - janvier 2007

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