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Psychologie environnementale

 

Cette discipline est apparue en France sous l’impulsion de Claude Levy-Leboyer qui publie, en 1980, un ouvrage intitulé Psychologie et environnement. Elle a pris naissance aux États-Unis avec la publication de l’ouvrage fondateur des psychologues sociaux Proshansky, Ittelson et Rivlin, dans les années 1970 : Environmental Psychology : Man and his physical setting.

Des mots pour le dire
Barbara Bonnefoy, maître de conférences, Université Paris Nanterre La Défense et Laboratoire parisien de psychologie sociale

Prendre en compte des paysages que personne ne voit dans la gestion des aires marines protégées

 

Gestion patrimoniale
Les représentations trouvent un intérêt éducatif. Elles se doivent de sensibiliser le public à ces questions de protection d’un habitat fragile, le but ici étant de montrer ce qui se passe sous la surface, mais également d’illustrer l’impact que peut avoir l’homme sur ces paysages.

Les représentations trouvent un intérêt éducatif. Elles se doivent de sensibiliser le public à ces questions de protection d’un habitat fragile, le but ici étant de montrer ce qui se passe sous la surface, mais également d’illustrer l’impact que peut avoir l’homme sur ces paysages. © Maxime Aubinet

Faucher comme il faut, quand il faut

 

Le 20 mai 2015, Ségolène Royal a lancé le plan national d’actions ‘France, terre de pollinisateurs’, attestant que le déclin des insectes pollinisateurs constitue aujourd’hui une préoccupation majeure en France. Au premier rang de ces insectes figurent les abeilles. Des études démontrent presque quotidiennement l’ampleur des stress auxquels les abeilles doivent faire face et laissent imaginer leur possible disparition (Goulson et al. 2015).

Espaces naturels n°52 - octobre 2015

Gestion patrimoniale
Bombus lucorum mâle.

Les espaces interstitiels, petits bouts de nature en ville, permettent à toute une végétation spontanée de se développer.     © H. Mouret - Bombus lucorum mâle.

L’empreinte écologique

 

De plus en plus médiatisé dans le monde de la conservation et du développement durable, notamment par le WWF, ce concept repose sur la surface de terres productives nécessaires pour fournir les biens et services qu’utilisent les humains, et pour absorber leurs déchets. Calculée à diverses échelles (globale, nationale...), et exprimée en « hectares globaux » par habitant, l’empreinte permet des comparaisons entre pays. Elle est souvent comparée à la biocapacité, qui est la capacité intrinsèque de production et d’absorption des écosystèmes.

Espaces naturels n°52 - octobre 2015

Des mots pour le dire

Communication positive

 

Jusqu’à la fin des années 1980, la communication liée au développement international visait surtout à dénoncer les échecs, avec des discours souvent alarmistes sur l’effet des sécheresses, la faim dans le monde, les défis agricoles, le déclin des espèces emblématiques, etc. Le développement socio-économique dominait les agendas et « l’arbre à problèmes » restait l’outil essentiel de formulation des programmes.

Espaces naturels n°32 - octobre 2010

Des mots pour le dire

Des races locales menacées au secours de la biodiversité

 

Originale, la biodiversité des marais atlantiques est liée à l’élevage extensif. Aussi en 1998, sur l’espace naturel sensible du Daviaud1, le comité scientifique de l’écomusée existant, a préconisé le développement de l’élevage en émettant un double souhait : que le cheptel du musée (vaches, chevaux, mouton, ânes) soit constitué de races anciennes, que la gestion agricole soit conforme aux règles de l’agriculture biologique. 
Un programme qui résulte de la vision holistique du territoire propre aux écomusées mais qui, hors du cadre théorique, tourne rapidement au casse-tête.

Espaces naturels n°32 - octobre 2010

Gestion patrimoniale

Au travail, le trait du Nord

 

À peine une trentaine d’étalons ! Les chevaux de la race trait du Nord1, qui étaient utilisés pour les travaux agricoles, tendent à disparaître. Il faut trois années et nombre d’approbations avant qu’un étalon soit reconnu « reproducteur », la majorité des éleveurs préfèrent alors diriger les jeunes mâles (80 %) vers l’abattoir.

Espaces naturels n°32 - octobre 2010

Gestion patrimoniale

Patrimonial

 

Génétique, naturel ou culturel, le patrimoine a gardé de son acception notariale le sens d’un héritage reçu, l’affirmation d’une continuité intergénérationnelle. Dire du patrimoine qu’il est un bien rappelle qu’il est à la fois une réalité matérielle et une valeur pour l’esprit. Ainsi, le code du patrimoine est-il celui de la culture.

Espaces naturels n°25 - janvier 2009

Des mots pour le dire

Carte sur table avec les entreprises

 

En 1996, une petite entreprise de sport de pleine nature dénommée La Découverte s’installe à Nohèdes. Fonctionnant essentiellement avec des tours-opérateurs belges, son activité se développe rapidement. Tout concourt à sa réussite : engouement du public pour l’engagement physique ; professionnalisme de ses animateurs, Bart et Isabelle ; qualité et proximité de paysages diversifiés et intacts.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Gestion patrimoniale

Coûts de gestion : comment les calculer ?

 

Chapitre obligatoire du DOCOB, le budget en précise les orientations et conduit à identifier chacune des opérations élémentaires d’un projet, il permet aussi de définir les quantités : surfaces, linéaires ou durées. Dès lors, sous condition de disposer de prix unitaires de référence (cf. encadré), nationaux ou locaux, on peut aisément calculer les coûts de gestion du programme.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Gestion patrimoniale