Grande faune : trouver un terrain d'entente
Bien que les conflits Homme-Faune ne soient pas un phénomène nouveau, en Afrique sub-saharienne notamment, les perspectives de croissance démographique, des besoins accrus en ressources naturelles ainsi que la diminution des habitats naturels ont aggravé la situation. Elles laissent présager le pire pour l’utilisation des espaces vitaux de chacun.
Espaces naturels n°56 - octobre 2016
Aux sources d’une nouvelle approche de la conservation ?
La diversité des participants et des problématiques témoigne de la multifonctionnalité des aires protégées autant qu’elle traduit une évolution dans les relations entre les sociétés et la nature. En un sens, ce congrès mondial des parcs constitue une transition entre deux périodes dans l’histoire récente de la conservation.
Espaces naturels n°50 - avril 2015
Un développement durable qui vient des communautés locales
La RMBMU a joué son rôle d’accompagnement de la communauté dans le développement d’une vision intégrant le développement durable et responsable. Elle a pour cela organisé en 2009 un forum de mobilisation afin de rassembler les acteurs du développement local et régional autour des enjeux socio-économiques et environnementaux.
Espaces naturels n°49 - janvier 2015
Un herbier pour former des spécialistes de la faune africaine
En botanique comme en mycologie, un herbier est une collection de plantes séchées et pressées entre des feuilles de papier. Le terme herbier peut également désigner l’établissement ou l’institution qui assure la conservation d’une collection botanique. L’herbier de l’École de faune de Garoua correspond aux deux acceptions. Mis en place au début des années 1970, peu après la création de l’École, il constitue l’unique collection botanique dans la région du grand nord du Cameroun et les pays environnants.
Espaces naturels n°40 - octobre 2012
Dix ans de surveillance participative
Une population de pêcheurs traditionnels habite là, en Mauritanie, sur le territoire du Parc national du banc d’Arguin (PNBA) dont le littoral s’étend sur plus de 200 km. Les Imraguen qui résident au sein de huit villages bénéficient d’un droit ancestral et aujourd’hui exclusif d’accès à la ressource halieutique dans le cadre de leur pêche traditionnelle. Ce droit permet notamment de sauvegarder la seule culture maritime du pays et une des dernières flottilles de pêche à la voile au monde.
Espaces naturels n°27 - juillet 2009