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Nous vous donnons rendez-vous à l’été 2021 pour une nouvelle aventure

 

Ce numéro est le dernier de la revue Espaces naturels telle que vous la connaissez. Cette belle aventure a duré 17 ans grâce à l’investissement de nombreuses personnes et notamment à l’engagement sans faille du comité éditorial. Leur action a trouvé écho auprès des lecteurs qui sont restés fidèles et ont accompagné la revue, y compris dans ses évolutions, toutes ces années.

Espaces naturels n°72 - octobre 2020

Édito
Bénédicte DUSSERT - Christophe AUBEL     © Michel Monsay

Bénédicte DUSSERT - Christophe AUBEL     © Michel Monsay

Nous ne pouvons indéfiniment nous servir dans le pot commun de la planète

 

La crise de la Covid-19 nous reconnecte brutalement à notre statut d’être vivant. Nous sommes mortels. Nous partageons notre planète avec d’autres êtres vivants. Nous sommes reliés à eux, même lorsqu’ils sont à l’autre bout de la planète. Nous dépendons d’eux. La Covid-19 est une maladie d’origine animale comme les trois quarts des maladies émergentes infectieuses. Les pressions anthropiques sur l’environnement intensifient les interfaces entre la faune sauvage et les humains et favorisent l’émergence de telles maladies.

Espaces naturels n°71 - juillet 2020

Édito
© Inrae

© Inrae

 

Solution locale contre menace globale ?

 

Les stratégies de conservation de la biodiversité ont historiquement été établies pour lutter contre la perte, la dégradation et la fragmentation des habitats ainsi que la surexploitation des ressources naturelles. Bien qu’efficaces pour réduire les pressions anthropogéniques sur les habitats et les espèces, ces stratégies de conservation pourraient sembler dérisoires face aux dérèglements climatiques attendus au cours des prochaines décennies.

Espaces naturels n°71 - juillet 2020

Études - Recherches
Échasse blanche (Himantopus himantopus) © JJ Harrison

Échasse blanche (Himantopus himantopus) © JJ Harrison

Tous unis pour nos biens communs

 

Biens communs de l’humanité, les écosystèmes et la biodiversité doivent être protégés aujourd’hui et pour les générations futures. Ils sont pourtant soumis à des pressions de plus en plus fortes, majoritairement d’origine anthropique. Perte de biodiversité, déforestation et fragmentation d’habitats, conflit homme-faune, dégradation des terres et artificialisation des sols, érosion côtière, réchauffement et acidification des océans ; crise climatique, surexploitation des ressources naturelles et pollutions de toutes sortes qui y contribuent et aggravent chacune de ces situations.

Édito

Mettre à profit une banque de graines

 

Mises en eau brusques et aléatoires, assèchements durant des années entières, les mares temporaires méditerranéennes sont l'illustration parfaite de l’influence du climat méditerranéen sur les communautés végétales. Les conditions de vie aussi contrastées que contraignantes induisent des cortèges hautement spécialisés. Bon nombre des espèces végétales typiques de ces zones humides ponctuelles y survivent grâce à une stratégie d'évitement : elles ne s'expriment que pendant les quelques mois suffisamment humides, et passent les périodes sèches sous forme de propagules contenues dans le sol.

Études - Recherches
Lythrum thesioides, dont les fleurs sont associées par deux (caractère géminé). © Mario Klesczewski

Lythrum thesioides, dont les fleurs sont associées par deux (caractère géminé). © Mario Klesczewski

Ensemble, tous engagés pour la biodiversité !

 

Le grand établissement de la biodiversité est né ! Dédié à la préservation de la biodiversité, intervenant à la fois sur l’expertise et l’opérationnel, fédérateur des énergies, sur terre, en mer, dans les milieux aquatiques, en métropole, dans les outre-mer et à l’international, l’OFB est au rendez-vous et en ordre de marche.

Espaces naturels n°69 - janvier 2020

Édito
© Pauline Valaize - OFB

© Pauline Valaize - OFB

Pour l'IPBES, il faut changer de modèles

 

L'évaluation mondiale de la biodiversité et des services écosystémiques de l'IPBES, ce sont : 15 000 publications scientifiques récentes analysées, 1 750 pages rédigées sur 3 ans par 145 rédacteurs scientifiques sélectionnés dans le monde entier et 22 000 observations formulées par experts et gouvernements. Les 35 pages du résumé pour décideurs, discutées ligne par ligne par l'assemblée plénière de l'IPBES, ont été présentées au président Macron puis à la presse internationale.

Espaces naturels n°69 - janvier 2020

Études - Recherches
Inauguration de la 7e session plénière de l'IPBES à Paris (Mai 2019).© IPBES

Inauguration de la 7e session plénière de l'IPBES à Paris (Mai 2019).© IPBES

Qu’apprend-on des études de notoriété ?

 

Notoriété, réputation, image... On parle d’image notamment pour évoquer la représentation mentale que l’on se fait d’un lieu, d’un territoire ou d’une destination, qu’on le connaisse ou non, qu’on l’ait déjà fréquenté ou non. Au-delà d’une éventuelle visite, l’image que l’on se fait d’un territoire provient d’un mélange d’une multitude d’éléments : ce qu’on a pu en voir dans les médias ou sur internet, la façon dont des proches vous en parlent, votre propre expérience de voyages en tant que touriste, ce que votre imaginaire vous inspire…

Espaces naturels n°69 - janvier 2020

Accueil - Fréquentation
L’expérience d’activités sur le site contribue à l’élaboration de l’image que l’on se fait d’un territoire. © Céline Bellanger - Parc national des Calanques

L’expérience d’activités sur le site contribue à l’élaboration de l’image que l’on se fait d’un territoire. © Céline Bellanger - Parc national des Calanques

Pêcheurs et cétacés : rude compétition dans les mers australes

 

Dans les tempêtes des 40es rugissants et 50es hurlants1, une rivalité féroce oppose pêcheurs austraux et mammifères marins, abondants dans ces eaux subantarctiques. Ces derniers viennent profiter d’une nourriture facilement accessible lorsqu'elle est prise aux hameçons des lignes des pêcheurs. Ce phénomène d’interaction des mammifères marins avec les opérations de pêche, de retrait et de consommation de poisson directement sur les hameçons est appelé déprédation.

DES RÉPERCUSSIONS

Espaces naturels n°68 - octobre 2019

Études - Recherches
Orque en surface avec une légine dans la gueule.© Paul Tixier

Orque en surface avec une légine dans la gueule.© Paul Tixier

Regarder les usagers de la mer… de plus près

 

La fréquentation de la mer côtière s'intensifie et se diversifie dans nos sociétés. On observe une agmentation des interactions entres les activités et leur environnement susceptibles d’accroître les pressions et les impacts sur l’environnement marin, ainsi que les tensions ou conflits entre activités (conservation, pêche, loisir, transport maritime, énergie…).

Espaces naturels n°68 - octobre 2019

Accueil - Fréquentation
Archipel des Glénan.© LETG UMR 6554 - UBO

Archipel des Glénan.© LETG UMR 6554 - UBO