Articles archivés correspondant à votre recherche
1 - 10 résultats sur 11
Afficher 5 | 10 résultats par page

Géomaticien : un métier jeune de mieux en mieux connu

 
Les premiers résultats(1) de l’enquête menée en 2013 mettent en évidence (ou confirment) les caractéristiques suivantes :
le métier de géomaticien est un métier jeune (75 % des répondants ont moins de 40 ans) ;
l’importance de la formation initiale (50 % des répondants) et de « l’autoformation sur le tas » surtout chez les plus anciens (21 % des répondants) ;

Espaces naturels n°47 - juillet 2014

Management - Métiers

Mobiliser une façade pour être efficace

 

La constitution du réseau en faveur des laro-limicoles coloniaux a été une démarche progressive. Elle a profité de l’investissement de structures clés pour sa coordination, de l’existence d’un réseau, de la mobilisation des gestionnaires et de la capacité à rassembler des ressources fi nancières suffi santes. 

Espaces naturels n°47 - juillet 2014

Gestion patrimoniale

Notre démarche pour intégrer les animateurs saisonniers

 

Des milliers d’enfants, entre 6 000 et 7 000 scolaires par an, fréquentent la Réserve naturelle géologique de Saucats. Le site est attractif, il « colle » aux programmes des 5e et des lycées. Des enseignants et universitaires se sont d’ailleurs impliqués dans la conception de sorties pédagogiques.

Espaces naturels n°31 - juillet 2010

Management - Métiers

Un stage pour identifier le chant des oiseaux

 

Pour gérer, il faut connaître. Et pour connaître, il faut parfois savoir écouter. D’où l’intérêt d’un stage d’initiation à l’ornithologie où l’on apprend à décortiquer et finalement retenir un son émis par un oiseau. L’apprentissage est progressif et insistant sur la structure physique du son. Le chant bi-syllabique du pouillot véloce est comparé au timbre et au rythme des notes vives de la mésange charbonnière, ou à celles répétitives d’un cri de pinson des arbres. D’onomatopées en analyses structurales, les sons acquièrent du sens.

Espaces naturels n°31 - juillet 2010

Management - Métiers

Placer les mesures de compensation sous éthique

 

Depuis plus de trente ans, tous les projets le justifiant légalement ont vu l’instauration de mesures compensatoires. Hélas construites dans des conditions parfois peu transparentes, ces mesures sont plus ou moins mises en œuvre.
Ainsi, avant ou après l’autorisation de travaux, les parties prenantes marquent souvent une différence d’intérêt pour la biodiversité. Un « grand écart » dont le vivant est le plus souvent victime.

Espaces naturels n°31 - juillet 2010

Gestion patrimoniale

Agir pour la biodiversité

 

En cette année consacrée, une réflexion sur la biodiversité s’impose. Autorisons-nous donc un regard sur le droit et cherchons à savoir quelle place la biodiversité tient réellement dans notre système juridique ? Tournons alors le projecteur sur la loi de 1976, laquelle préconise « si possible » des mesures de compensations (art. L.122-3 et R.122-3, code de l’environnement) dès lors que l’autorisation des projets d’aménagement génère des dommages sur la nature.
Qu’en penser ? Un récent séminaire interdisciplinaire s’est penché sur la question.

Espaces naturels n°31 - juillet 2010

Le courrier

Revoir nos vieux dictons

 

Comment évaluer la biodiversité ? La question se pose avec acuité, cette année peut-être plus particulièrement. Aussi les chercheurs travaillent-ils afin de déterminer des indicateurs susceptibles d’objectiver l’analyse.
Dans ce contexte, d’aucuns soutiennent que, outre l’approche scientifique, d’autres savoirs seraient tout aussi pertinents pour porter cette évaluation. Les savoirs vernaculaires par exemple, dont la validité locale s’est construite au fil du temps, sur la base d’une expérience directe au territoire.

Espaces naturels n°31 - juillet 2010

Le courrier

De piètres faussaires

 

Thierry Dutoit.

Le courrier

Ces mesures qu’on pense aléatoires

 

Le « Grenelle » avait pour objectif de bousculer la planète environnement. Il y a eu des secousses, des remises en cause dont on ne pouvait même pas rêver à la fin du siècle dernier. Nous en pèserons la pertinence dans dix ans.

Le courrier

Piroguier ? Il faut connaître le fleuve, intimement

 

Enfant du fleuve, Robert Doudou a aujourd’hui la trentaine. Depuis l’âge de cinq ans, il conduit la pirogue. Une petite d’abord. Pour apprendre. Puis une plus grande, pour son compte et, plus tard, pour la gendarmerie.
Piroguier-layonneur-charpentier, cet homme sportif et massif appartient à la communauté des Bonis et travaille pour le Parc national amazonien de Guyane, à la délégation du Maroni.

Management - Métiers