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Pour l'IPBES, il faut changer de modèles

 

L'évaluation mondiale de la biodiversité et des services écosystémiques de l'IPBES, ce sont : 15 000 publications scientifiques récentes analysées, 1 750 pages rédigées sur 3 ans par 145 rédacteurs scientifiques sélectionnés dans le monde entier et 22 000 observations formulées par experts et gouvernements. Les 35 pages du résumé pour décideurs, discutées ligne par ligne par l'assemblée plénière de l'IPBES, ont été présentées au président Macron puis à la presse internationale.

Espaces naturels n°69 - janvier 2020

Études - Recherches
Inauguration de la 7e session plénière de l'IPBES à Paris (Mai 2019).© IPBES

Inauguration de la 7e session plénière de l'IPBES à Paris (Mai 2019).© IPBES

Ensemble, tous engagés pour la biodiversité !

 

Le grand établissement de la biodiversité est né ! Dédié à la préservation de la biodiversité, intervenant à la fois sur l’expertise et l’opérationnel, fédérateur des énergies, sur terre, en mer, dans les milieux aquatiques, en métropole, dans les outre-mer et à l’international, l’OFB est au rendez-vous et en ordre de marche.

Espaces naturels n°69 - janvier 2020

Édito
© Pauline Valaize - OFB

© Pauline Valaize - OFB

Charlotte Meunier

 

Les réserves naturelles ont élu l'an dernier à la tête de leur fédération, Réserves naturelles de France (RNF), Charlotte Meunier. Une présidente pour porter la parole de son réseau et défendre la conservation des espèces pour les générations futures, mais aussi des valeurs humaines. Même si la tâche est difficile et très prenante, elle estime que l'essentiel de son rôle est de donner les moyens à tous ces professionnels et acteurs des réserves compétents de travailler et de faire avancer la protection de la biodiversité.

Espaces naturels n°69 - janvier 2020

Portrait
Charlotte Meunier, présidente de Réserves naturelles de France

Charlotte Meunier, présidente de Réserves naturelles de France

Je compte sur vous

 

Je suis heureux de m’adresser aux gestionnaires que fédère cette belle revue Espaces naturels, pour les féliciter de leur engagement, et pour leur dire que je compte sur eux.

Espaces naturels n°61 - janvier 2018

Édito
© Arnaud Bouissou/MTES-DICOM

L'effet des infrastructures linéaires sur la diversité

 

La perte et la fragmentation de l’habitat sont de plus en plus étudiées en écologie et en génétique des populations. Ces deux phénomènes sont difficilement séparables et sont souvent considérés comme ayant des effets négatifs sur les populations sauvages. Ils peuvent conduire à une diminution de la taille des populations et à une limitation des flux de gènes entre populations, entraînant ainsi une réduction de la diversité génétique de chacune des populations locales et une plus grande différenciation entre elles.

Espaces naturels n°61 - janvier 2018

Études - Recherches
Le domaine vital des cerfs peut couvrir 1 100 à 3 000 hectares. © V.Vignon

Le domaine vital des cerfs peut couvrir 1 100 à 3 000 hectares. © V.Vignon

Emmanuel Icardo

 

Technicien patrimoine au Parc national des Écrins, Emmanuel Icardo est devenu secrétaire de la Fédération européenne des gardes nature créée en mai 2017 sous l’égide de l’International Ranger Federation.

Espaces naturels n°61 - janvier 2018

Portrait
Technicien patrimoine au Parc national des Écrins. © Alexandre Terreau, Parc national

Technicien patrimoine au Parc national des Écrins. © Alexandre Terreau, Parc national

Appel à témoins

 

Nous lançons un appel à témoin… Un plathelminthe (ver plat) terrestre, prédateur de lombrics, vient d’être détecté cet hiver dans trois localités françaises (Finistère, Alpes-Maritimes, Corse). Ce genre de ver n’existe pas naturellement en Europe. Dans les quelques pays où des espèces proches ont été récemment détectées, comme en Angleterre, on observe une quasi-disparition de sa proie (les lombrics), causant des pertes agronomiques et des déséquilibres majeurs sur les milieux naturels. Son origine serait l’hémisphère sud, plus probablement la Nouvelle-Zélande.

Espaces naturels n°43 - juillet 2013

Le courrier

S’adapter plutôt que se déplacer

 

Riche en exemples de modifications de distribution géographique d’organismes biologiques en association avec les changements climatiques, la littérature scientifique nous renseigne peu sur la réponse évolutive des espèces à ces changements. Au lieu de se déplacer, les espèces ne pourraient-elles pas tout simplement s’adapter ? Pas évident pour certains : l’adaptation est un long processus et souvent en décalage avec les changements d’environnement.

Espaces naturels n°43 - juillet 2013

Le courrier

Les collectivités s’impliquent et se rapprochent de la recherche

 

Nous ne disposons pas d’informations sur les relations entre les chercheurs et les collectivités en tant que gestionnaires d’espaces naturels ou financeur, constate Flora Pelegrin, responsable du pôle stratégie et animation à la Fondation pour la recherche sur la biodiversité, faisant écho des enquêtes nationales sur la recherche dans le domaine de la biodiversité (cf. encadré).

Espaces naturels n°43 - juillet 2013

Études - Recherches

Reconsidérer notre rapport au Vivant

 

Peu conscients de l’interdépendance entre non-humains et humains, ces derniers s’autorisent à décider ce qui est utile ou inutile, voire nuisible, et pourquoi pas à éradiquer des espèces vivantes. Des effets boomerang en résultent telles des maladies nosocomiales ; des pullulations de ravageurs dont les prédateurs n’existent plus ; la multiplication des résistances aux herbicides, pesticides, antibiotiques, etc., et pour les humains, l’appauvrissement d’écosystèmes qui entraîne des pénuries… ou pire.

Espaces naturels n°43 - juillet 2013

Édito