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Et si on faisait simple ?

 

J’ai été amené depuis de nombreuses années à lire ou corriger de nombreux plans de gestion, documents d’objectifs, dossiers de presse, cahiers techniques… édités par les gestionnaires d’espaces protégés ou par les associations environnementalistes et j’ai très souvent été surpris par l’emploi inapproprié des adjectifs botanique, floristique et végétal ou zoologique, faunistique et animal. Dans certains cas, cela tourne au jargon technocratique ou au non-sens, ce qui ne facilite sûrement pas une bonne communication avec les élus, les décideurs ou le grand public.

Le courrier

Soyons prêts

 

Je dois vous le dire tout net : je ne mettrai plus les pieds dans un espace naturel, c’est vraiment trop risqué !
Après avoir assisté au dernier forum des gestionnaires qui traitait des risques naturels, des tremblements de terre, des terribles maladies contagieuses en passant par les inondations et les incendies… Il y a de quoi ressentir quelques frissons, non ? Certes, je plaisante ; cependant, la somme des expériences dont les intervenants nous ont fait part mérite bien qu’on se pose quelques questions sur la nécessaire anticipation des crises au sein de nos structures.

Le courrier

Contre les boues illégales, qui détient les clés de l’action ?

 

Urbanisation, changement de destination des terres, aménagement d’irrigation… depuis plus d’un siècle, le delta du Gediz subit une évolution dramatique. Le lieu a connu, tour à tour, la création puis l’agrandissement des salines, la multiplication des canalisations d’eau. De riches habitats ont aujourd’hui disparu et, avec eux, de nombreuses espèces. Ni la convention de Ramsar, ni la Réserve de faune qui s’applique dans ce périmètre (8 000 ha enregistrés) ne s’avèrent suffisantes et les inquiétudes vont croissant.

Vu ailleurs

Écologue dans un espace urbain

 

Vous travaillez en ville, vous vous occupez donc de nature ordinaire ?

L'entretien

Anthropocène

 

Ajouter l’anthropocène à l’échelle des temps géologiques, telle sera la proposition que devra (ou non) adopter le prochain Congrès géologique international1, qui se tiendra en août, en Australie.
Ce nouvel âge planétaire s’appuie sur des indices de plus en plus nombreux d’un bouleversement des équilibres fondamentaux de la planète du fait de l’activité humaine, au point de mettre en danger l’existence même d’Homo sapiens.

Des mots pour le dire

Localisation et enjeux des systèmes agricoles à Haute valeur naturelle en France métropolitaine

 

La localisation des systèmes agricoles à Haute valeur naturelle et des petites régions qui les supportent n’est pas chose facile tant l’agriculture est diversifiée et la biodiversité complexe. L’enjeu est pourtant de taille puisque cette agriculture contribue au maintien d’une haute biodiversité et pourrait constituer avec les forêts une part importante de la trame verte. Où se cache-t-elle, cette agriculture qui soutient une grande diversité de plantes dans ses prairies et ses cultures, qui maintient papillons et oiseaux ?

Gestion patrimoniale

L’agriculture à Haute valeur naturelle pour la biodiversité dans les sites semi-naturels

 

L’agriculture à Haute valeur naturelle a une particularité : elle est la seule à prendre en compte, spécifiquement, les enjeux de conservation de la biodiversité à large échelle.

Gestion patrimoniale

Préserver l’arnica et développer l’emploi

 

Plante médicinale précieuse, l’arnica est notamment récoltée pour fabriquer des baumes appliqués sur des zones traumatisées sans plaie. Une partie des récoltes provient des milieux naturels. L’arnica reste en effet difficilement cultivable et les propriétés médicinales sont plus développées dans les souches sauvages où sa présence signe une grande richesse écologique1 : la plante sert de bio-indicateur de l’état de conservation des milieux agropastoraux.

Aménagement - Gouvernance

Les toits de chaume au secours du butor étoilé

 

Sur le territoire du Parc naturel régional de Brière, le roseau est employé pour la couverture des habitations traditionnelles. Ce matériau a connu un renouveau notamment grâce aux subventions de l’État et de la région. Malgré cela, sur les marais de Brière, sa récolte hivernale et manuelle se fait dans des conditions difficiles sans que les coupeurs n’aient réellement de statut. En Brière, contrairement à d’autres régions (Camargue…), la mécanisation de cette activité n’a jamais réellement vu le jour. Les tentatives ont été peu concluantes tant les milieux sont contraignants.

Aménagement - Gouvernance

Culture et nature cohabitent sur site sensible

 

Du haut de ses treize mètres, l’Observatoire domine les prairies estuariennes. Œuvre de Tadaski Kawamata, architecte japonais, la tour en bois et sa rampe d’accès résultent de l’initiative du Lieu unique1, organisme nantais dédié à la diffusion de la culture. L’artiste a été inspiré par ces anciens bras de Loire, sédimentés par la chenalisation du fleuve et recolonisés par la prairie ou la roselière. L’Observatoire permet de contempler la Loire.

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