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Solidarité écologique

 

Comment le terme « solidarité écologique » est-il apparu ?

L'entretien
John Thompson et Raphaël Mathevet, Cefe CNRS

John Thompson et Raphaël Mathevet, Cefe CNRS

Psychologie environnementale

 

Cette discipline est apparue en France sous l’impulsion de Claude Levy-Leboyer qui publie, en 1980, un ouvrage intitulé Psychologie et environnement. Elle a pris naissance aux États-Unis avec la publication de l’ouvrage fondateur des psychologues sociaux Proshansky, Ittelson et Rivlin, dans les années 1970 : Environmental Psychology : Man and his physical setting.

Des mots pour le dire
Barbara Bonnefoy, maître de conférences, Université Paris Nanterre La Défense et Laboratoire parisien de psychologie sociale

La notoriété internationale a porté ses fruits

 

Les menaces sur les paysages et le caractère naturel du Jabal Moussa (voir ci-dessous) sont diverses et bien réelles. L’ouverture et l’agrandissement de routes, de pistes, de carrières de rochers ou de sable affectent de nombreuses montagnes du Liban. L'urbanisation progresse rapidement à partir de la côte et gagne vers la montagne. Jusqu'à quand épargnera-t-elle le Jabal Moussa ?

Vu ailleurs
Pivoine du Kesrouan.

Pivoine du Kesrouan. © APJM

Cartographier les herbiers avec peu de moyens

 

Les herbiers marins sont un habitat essentiel du littoral ouest-africain, mais leur répartition est encore globalement méconnue. Dans l’AMP de Joal-Fadiouth, où les fonds sont peu profonds (généralement moins de sept mètres de profondeur), les herbiers à Cymodocea nodosa et Hallodule wrightii expliqueraient l’abondance de tortues vertes et de seiches. Afin de capturer ces céphalopodes, certains pêcheurs du village de Joal utilisent des nasses qu’ils remplissent de feuilles vertes collectées à terre.

Espaces naturels n°55 - juillet 2016

Vu ailleurs
Cartographier les herbiers avec peu de moyens

Pour une protection désintéressée

 

Qu'avez-vous pensé des échanges autour de la loi Biodiversité ? 

Espaces naturels n°55 - juillet 2016

L'entretien

Vous avez dit « sauvage » ?

 

Le mot « sauvage » qui provient du latin sylva, racine du qualificatif sylvestre, a servi pendant longtemps à désigner tout ce qui, à venir de la forêt, représentait un danger pour les hommes et leurs cultures. Était sauvage ce qui, rétif

Espaces naturels n°55 - juillet 2016

Des mots pour le dire

Tourisme durable

 

Le tourisme durable est un tourisme respectueux des principes du développement durable et de ses trois piliers, désormais célèbres, économique, social et environnemental. Seul un bon équilibre entre ces trois valeurs, a priori fort différentes, peut en garantir l’esprit. Cependant, une jungle d’adjectifs gravite autour de ce concept au point d’en rendre le sens plus flou. Ainsi, on parle de tourisme équitable, alternatif, solidaire, responsable, vert ou encore rural, pour aller jusqu’à la notion d’écotourisme, aujourd’hui fort répandue, mais dont les contours sont encore mal définis.

Espaces naturels n°41 - janvier 2013

Des mots pour le dire

« Un conflit peut en cacher d’autres »

 

Dans les rapports gestionnaires, chasseurs, agriculteurs, la discussion tourne souvent à la confrontation. Est-ce inévitable ?

Espaces naturels n°41 - janvier 2013

L'entretien

« Nous construisons les bases d’une coopération transfrontalière »

 

Entre la France et l’Allemagne, une coopération d’un genre particulier est en marche. Projet pilote, il vise la création d’une trame verte et bleue transfrontalière dont le tracé évolue dans la Réserve de biosphère transfrontalière (RBT) Vosges du Nord – Pfälzerwald. Sa déclinaison concrète prévoit entre autres la création d’écoponts et de passerelles à gibier. Si les porteurs du projet aiment à souligner les succès de cette collaboration mise en place depuis 1983, c’est que ce travail constitue un long chemin pavé d’ornières.

Espaces naturels n°41 - janvier 2013

Vu ailleurs

Ingénierie écologique

 

Le terme d’ingénierie écologique émergea dans les années 60 sous la plume d’un écologue américain, Howard Thomas Odum : il fut d’abord formulé en termes de flux d’énergie, c’est-à-dire qu’il quantifiait l’échange d’énergie entre les différents compartiments d’un écosystème et l’utilisation d’énergie à l’intérieur de ces compartiments. Était qualifié d’ingénierie écologique tout aménagement, réalisation ou évaluation d’ingénieur dans lequel les flux d’énergie dépensés par l’homme étaient beaucoup plus faibles que les flux d’énergie mis en œuvre « naturellement ».

Des mots pour le dire