Articles archivés correspondant à votre recherche
1 - 10 résultats sur 12
Afficher 5 | 10 résultats par page

Faucher comme il faut, quand il faut

 

Le 20 mai 2015, Ségolène Royal a lancé le plan national d’actions ‘France, terre de pollinisateurs’, attestant que le déclin des insectes pollinisateurs constitue aujourd’hui une préoccupation majeure en France. Au premier rang de ces insectes figurent les abeilles. Des études démontrent presque quotidiennement l’ampleur des stress auxquels les abeilles doivent faire face et laissent imaginer leur possible disparition (Goulson et al. 2015).

Espaces naturels n°52 - octobre 2015

Gestion patrimoniale
Bombus lucorum mâle.

Les espaces interstitiels, petits bouts de nature en ville, permettent à toute une végétation spontanée de se développer.     © H. Mouret - Bombus lucorum mâle.

Une agence pour aller plus loin

 

Espaces naturels n°52 - octobre 2015

L'entretien
Annabelle Jaeger

Partager la donnée pour l’analyser

 

La migration des oiseaux sur le littoral du Pas-de-Calais* a permis de valoriser les millions d’heures d’ornithologues bénévoles passées à suivre la migration sur l’une des zones les plus importantes de France. 

Frédéric Caloin et Philip Redman, ornithologues

Espaces naturels n°49 - janvier 2015

L'entretien

Évaluation du patrimoine naturel : où est le problème ?

 

Les évaluations du plan de gestion se résument la plupart du temps en une analyse de l’avancement des opérations (fait, pas fait, engagé, ...). Il manque tout le volet évaluation des résultats de la gestion et tout particulièrement de l’état de conservation du patrimoine naturel. Or, dans le contexte actuel, rendre des comptes sur les finances publiques, par une évaluation continue des résultats de la gestion va devenir une nécessité.

Espaces naturels n°49 - janvier 2015

Gestion patrimoniale

© F. Hébert - RNN

Écologue dans un espace urbain

 

Vous travaillez en ville, vous vous occupez donc de nature ordinaire ?

L'entretien

L’agriculture à Haute valeur naturelle pour la biodiversité dans les sites semi-naturels

 

L’agriculture à Haute valeur naturelle a une particularité : elle est la seule à prendre en compte, spécifiquement, les enjeux de conservation de la biodiversité à large échelle.

Gestion patrimoniale

Localisation et enjeux des systèmes agricoles à Haute valeur naturelle en France métropolitaine

 

La localisation des systèmes agricoles à Haute valeur naturelle et des petites régions qui les supportent n’est pas chose facile tant l’agriculture est diversifiée et la biodiversité complexe. L’enjeu est pourtant de taille puisque cette agriculture contribue au maintien d’une haute biodiversité et pourrait constituer avec les forêts une part importante de la trame verte. Où se cache-t-elle, cette agriculture qui soutient une grande diversité de plantes dans ses prairies et ses cultures, qui maintient papillons et oiseaux ?

Gestion patrimoniale

Au service des zones humides

 

Tout de go, qu’est-ce qui vous inquiète le plus vis-à-vis de la conservation des zones humides ?
Prioritairement ? Les industries extractives. Les gens ont besoin d’énergie et les compagnies vont la chercher là où elle se trouve. Quitte à prendre des risques écologiques extrêmes.
Voyez ce qui arrive aux États-Unis et imaginez la même chose en Afrique où les populations vivent de la pêche. La dégradation serait irréversible.

Espaces naturels n°32 - octobre 2010

L'entretien

Des races locales menacées au secours de la biodiversité

 

Originale, la biodiversité des marais atlantiques est liée à l’élevage extensif. Aussi en 1998, sur l’espace naturel sensible du Daviaud1, le comité scientifique de l’écomusée existant, a préconisé le développement de l’élevage en émettant un double souhait : que le cheptel du musée (vaches, chevaux, mouton, ânes) soit constitué de races anciennes, que la gestion agricole soit conforme aux règles de l’agriculture biologique. 
Un programme qui résulte de la vision holistique du territoire propre aux écomusées mais qui, hors du cadre théorique, tourne rapidement au casse-tête.

Espaces naturels n°32 - octobre 2010

Gestion patrimoniale

Au travail, le trait du Nord

 

À peine une trentaine d’étalons ! Les chevaux de la race trait du Nord1, qui étaient utilisés pour les travaux agricoles, tendent à disparaître. Il faut trois années et nombre d’approbations avant qu’un étalon soit reconnu « reproducteur », la majorité des éleveurs préfèrent alors diriger les jeunes mâles (80 %) vers l’abattoir.

Espaces naturels n°32 - octobre 2010

Gestion patrimoniale