Articles archivés correspondant à votre recherche
26 - 50 résultats sur 54
Afficher 5 | 10 | 20 | 40 résultats par page

« Notre besoin ? Des experts en économie locale dans un souci opérationnel »

 

Pour servir les objectifs du parc, nous avons ressenti le besoin de nous associer les compétences d’experts en économie. Nous avons donc initié un conseil scientifique pluridisciplinaire. À côté des écologues, sociologues, ethnologues, historiens… il veut intégrer des économistes. Pas facile ; même avec la présence proche de l’université de Toulouse.

Le Dossier

Plus encourageant qu’il n‘y paraît…

 

2010. La biodiversité sauvée ? Pas tout à fait, mais la situation est plus encourageante qu’il n’y paraît.
La cible, fixée en 2002, de réduire significativement les pertes de biodiversité pour 2010 n’a pas été atteinte ; les pressions n’ont pas fléchi et les milieux naturels continuent de « reculer ». Bref, le déclin de la biodiversité se poursuit au rythme excessif et préoccupant, dénoncé, entre autre, par le Millennium ecosystem assessment.

Édito

Piroguier ? Il faut connaître le fleuve, intimement

 

Enfant du fleuve, Robert Doudou a aujourd’hui la trentaine. Depuis l’âge de cinq ans, il conduit la pirogue. Une petite d’abord. Pour apprendre. Puis une plus grande, pour son compte et, plus tard, pour la gendarmerie.
Piroguier-layonneur-charpentier, cet homme sportif et massif appartient à la communauté des Bonis et travaille pour le Parc national amazonien de Guyane, à la délégation du Maroni.

Management - Métiers

Comprendre la fréquentation

 

Pour les gestionnaires, la rédaction d’un plan de gestion est un moment d’intense réflexion. Celle-ci débute généralement par une longue séance où chacun est convié à nourrir l’analyse. Les réserves de Haute-Savoie n’ont pas failli à la coutume. Dès les premiers échanges sur la fréquentation touristique, engagés avec le comité scientifique1, un thème est revenu, récurrent : celui des sentiers. Or, qui dit sentier, dit réseau de sentiers, usagers des sentiers, gestion des sentiers, et, bien sûr, évolution des usages et diversité des acteurs.

Espaces naturels n°19 - juillet 2007

Le Dossier

Méthode pour reconstituer l’histoire des sentiers

 

Reconstituer l’histoire des sentiers, c’est permettre aux gestionnaires de choisir les modes de gestion à venir en disposant d’une connaissance valorisable de ce qu’ils ont pu être par le passé.

Espaces naturels n°19 - juillet 2007

Le Dossier

Agir ensemble

 

Les acteurs susceptibles de prendre part à la vie des sentiers sont suffisamment nombreux pour laisser planer l’éventualité de conflits d’usage. Aussi, afin d’agir dans le cadre d’une gestion concertée, les réserves de Haute-Savoie, des gorges de l’Ardèche et du parc national des Écrins ont voulu connaître la motivation de chacun de ces acteurs et apprécier leur cohérence de pensée et d’action.

Espaces naturels n°19 - juillet 2007

Le Dossier

Prendre en compte le temps et l’espace

 

Connaître la fréquentation d’un réseau de sentiers suppose de concevoir un outil spécifique dont les objectifs et fonctionnalités dépendent des enjeux déterminés par le gestionnaire. Il s’agit de répondre à des questions d’apparence basique mais pour lesquelles très peu d’informations précises – voire aucune – ne sont disponibles : « Qui, où, quand, fait quoi et pourquoi ? » La mesure de la fréquentation touristico-sportive renvoie alors, certes à des individus et des pratiques, mais aussi au temps et à l’espace.

Espaces naturels n°19 - juillet 2007

Le Dossier

Connaître le rôle écologique des sentiers

 

Certes, le très grand nombre de facteurs impliqués dans les modifications de dynamiques écologiques rend illusoire une analyse de l’ensemble des composantes biologiques d’un réseau de sentiers. Des études ont cependant été réalisées dans les réserves naturelles des Aiguilles rouges et des gorges de l’Ardèche, ainsi que dans la réserve biologique domaniale du mont Mézenc qui nous éclairent sur l’impact écologique des sentiers. Elles nous renseignent à la fois sur l’état et le niveau de perturbation des écosystèmes fréquentés et, également, sur les fonctions des sentiers en termes de

Espaces naturels n°19 - juillet 2007

Le Dossier

Journées sans voiture

 

Tous les jours, dans les gorges du Verdon, entre 500 et 1 000 véhicules individuels se pressent pour parcourir la route des crêtes. En septembre 2003 et 2004, puis en juillet 2006, c’est-à-dire en période de plus forte affluence, quatre journées expérimentales sont alors successivement organisées. Leur objectif : des journées sans voiture. Un arrêté du conseil général ferme la route (départementale) aux véhicules individuels à moteur et la route des crêtes ne devient accessible que par navette, mise en place pour l’occasion, ou par des moyens non motorisés.

Espaces naturels n°19 - juillet 2007

Accueil - Fréquentation

Comme les autres ?

 

Au début, il y a juste eu le hasard. Une soirée autour du bar comme il s’en organise régulièrement au centre d’accueil thérapeutique à temps partiel. « L’équipe soignante m’a demandé d’organiser une conférence sur les milieux naturels de Lorraine. J’ai répondu présent. » Pierre Wernain se rappelle cet instant comme une intimité vécue avec une vingtaine d’adultes handicapés qui n’en finissaient plus d’être intéressés… Au point, les jours qui suivent, de programmer une visite guidée de la réserve.

Espaces naturels n°19 - juillet 2007

Management - Métiers

Évaluer la valeur alimentaire d’une végétation

 

Pour maintenir ou restaurer des habitats, nombre de gestionnaires privilégient l’usage du pâturage par des troupeaux domestiques. Cet outil permet notamment de mieux maîtriser la dynamique d’espèces végétales dominantes, donc l’excès d’embroussaillement. Cependant, pour décider des modalités de mise en œuvre, il convient d’évaluer le pâturage offert au troupeau : sera-t-il suffisant en quantité et en qualité ?
Les méthodes d’évaluation actuelles sont souvent insuffisantes. De plus, elles sont fréquemment utilisées de manière inadéquate.

Espaces naturels n°19 - juillet 2007

Méthodes - Techniques

Développer une photothèque numérique

 

Ce qui est renversant avec la photothèque numérique, c’est qu’elle change radicalement notre façon de rechercher des images. Avant, il fallait partir à leur recherche, fouiller dans les tiroirs, ou bien défaire le stock de CD-Rom. Maintenant, les photos viennent à nous. Quelques clics, et voilà des planches prêtes pour notre choix final. Facile !…
Facile ? Comme toujours, cette simplicité apparente résulte d’un important travail : sélection, légendage, référencement, indexation. Et d’abord, le choix du logiciel support : monoposte ou solution tout web ?

Espaces naturels n°19 - juillet 2007

Méthodes - Techniques

La difficile construction du parc amazonien de Guyane

 

Après quinze ans de négociation, le parc national amazonien de Guyane est enfin créé. De réunions à Cayenne avec les institutions jusqu’aux nombreuses rencontres sur le terrain avec les communautés d’habitants… pour l’équipe de la mission pour la création du parc, cette dernière année aura été intense !
Le sujet le plus controversé ? Le zonage (c’est-à-dire la délimitation de la zone classée en cœur de parc) sur la commune de Maripasoula, lequel mêlait les positions contradictoires d’habitants, d’ONG locales, nationales et internationales.

Espaces naturels n°19 - juillet 2007

Édito

Gestion des déchets sur l’espace littoral

 

Filets, emballages, bidons, plastiques, fûts… La situation géographique de la baie d’Audierne favorise l’accumulation de déchets de toute nature. Aussi, dès sa création en 2000, le syndicat intercommunal à vocation unique (Sivu) de la baie d’Audierne a développé une stratégie pour gérer les déchets sur les 516 ha de dunes, pelouses dunaires et marais littoraux dont il a la charge1. Soucieux d’une certaine éthique, sa démarche privilégie l’utilisation de méthodes douces et la valorisation des déchets par le tri sélectif.

Espaces naturels n°19 - juillet 2007

Méthodes - Techniques

Les sentiers

 

Un sentier ? Quoi de plus évident, ici en forêt, là en alpage, ailleurs au bord de l’eau. La trace nous semble partout familière, sinon naturelle. Certes, elle est le produit des Hommes, même si parfois les animaux, à force de passages, marquent également le sol de leurs propres cheminements. Mais cette trace nous vient généralement de fort loin, transmise sans mot dire, par les générations passées ; de si loin qu’elle nous semble faire corps avec les milieux et les paysages qu’elle traverse.

Espaces naturels n°19 - juillet 2007

Le Dossier

La revégétalisation en pratique

 

Le sol pauvre, les embruns salés, la forte exposition au vent, autant de facteurs qui renforcent l’action du surpiétinement… La Pointe du Raz souffre de son succès touristique. Les sentiers s’élargissent jusqu’à devenir de vastes surfaces de roche nue où le ruissellement de l’eau accélère l’érosion.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Méthodes - Techniques

Zones humides

 

Mal connues et mal aimées des Français, les zones humides semblaient peuplées de moustiques et de farfadets. Pour le grand public, leur assèchement apparaissait presque comme une bénédiction, « mais depuis dix ans ; cette vision a fortement évolué » explique Geneviève Barnaud, présidente du conseil scientifique du PNRZH.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Le Dossier

L’accès du public aux milieux humides : une condition de leur conservation

 

La fréquentation des espaces palustres permet-elle ou non de faciliter l’adhésion sociale aux politiques de conservation ? L’étude des rapports sociaux, qui porte sur six marais dont trois urbains et trois ruraux, catégorise les milieux et retient la construction de trois types possibles d’espaces palustres : des marais visités, des marais habités et visités ; des marais habités. Dans chacun d’entre eux, la relation à l’espace s’exprime différemment.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Le Dossier

Les agriculteurs face aux contradictions des politiques publiques

 

De nombreuses terres, en zones humides, sont exploitées par des agriculteurs : cette catégorie professionnelle est donc placée au cœur des enjeux de conservation. Or, durant les quarante dernières années, l’évolution de ces exploitations est marquée par des stratégies d’intensification et d’agrandissement. Cela se traduit par l’assèchement de ces milieux pour y implanter des cultures de vente et des cultures fourragères, plus productives que les prairies naturelles.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Le Dossier

Un héron et un caïman qu’on n’attendait pas

 

Ceinturé par des falaises très abruptes, par des forêts marécageuses et impénétrables, par des vasières très instables, le cœur du marais est inaccessible par la mer et par voie fluviale et terrestre. Ainsi, l’essentiel de la zone humide de Kaw-Roura est resté quasiment vierge de toutes connaissances scientifiques jusqu'à une période très récente. Or, dans la continuité des opérations de recherche du PNRZH, une plate-forme flottante a été héliportée le 4 décembre 2001. Elle a ainsi été déposée dans une mare isolée et permanente du marais.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Le Dossier

Gouvernance et biologie de la conservation

 

Le souci de bonne gouvernance est au cœur des préoccupations des gestionnaires d'espaces protégés.
Concevoir une éthique collective et mettre en œuvre des règles de comportement fait partie de leurs préoccupations. Que les populations participent à l’élaboration des projets, aux côtés des acteurs gouvernementaux et non gouvernementaux, leur paraît essentiel. Mais comme gestionnaires, ils doivent insister particulièrement sur l'intégration des objectifs de conservation dans les politiques sociales et économiques.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Édito

Les mares prairiales en toute urgence

 

Le principal enjeu de protection porte incontestablement sur les mares prairiales qui renferment l’essentiel de la biodiversité de l’espace rural. Face à l’intensification de la filière élevage et à la transformation des pratiques agricoles, la rapide disparition des mares d’abreuvement se poursuit, voire s’accélère, au gré des modifications de la PAC. À l’inverse, les mares routières et autoroutières sont les championnes de la biodiversité floristique : près de la moitié des espèces patrimoniales y trouvent refuge.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Le Dossier

La nature va y trouver son compte

 

Que les sportifs participent à entretenir les espaces qu’ils fréquentent et la nature elle-même peut y trouver son compte. Les exemples de bonne entente entre gestionnaires et sportifs sont assez nombreux : en Meuse, des chantiers d’entretien furent organisés par les parapentistes et le Conservatoire des sites lorrains ; dans la Réserve naturelle des Gorges de l’Ardèche, les spéléologues œuvrent au recensement de la faune des grottes et à la compréhension des phénomènes géologiques.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Accueil - Fréquentation

Pratiques agricoles : gérer pour la biodiversité

 

Le fauchage ou le pâturage ont-ils le même impact sur la biodiversité ?
Ces deux modes de gestion déterminent des cortèges floristiques sensiblement différents. Une étude comparative à niveaux hydriques équivalents a été menée entre des prairies fauchées et des prairies pâturées. Les résultats montrent que la richesse et la diversité des communautés végétales diminuent avec le pâturage. L’appauvrissement observé est d’autant plus marqué que le pâturage a lieu tôt au printemps, que le chargement animal est important et que les apports d’engrais sous forme minérale sont élevés.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Le Dossier

Monde sous-marin, la palme du respect

 

Avec près de 20 000 plongées recensées chaque année dans ses eaux, le Parc national de Port-Cros souhaitait promouvoir une pratique à la fois respectueuse de l’environnement et riche de qualité pour les usagers. Les équipes du parc, elles-mêmes pratiquantes, considéraient que les exigences propres à la plongée étaient largement compatibles avec les prescriptions de fréquentation d’un espace protégé.

Espaces naturels n°2 - avril 2003

Accueil - Fréquentation